lundi 30 mai 2016

1976, 1996, une cascade d'anniversaires néfastes



Le 18 mai 1976, Gerald Ford, Henry Kissinger, et Valéry Giscard destaing annoncent officiellement la création de la French American  Foundation.

De cette FAF surgit le corps des Young Leaders : vingt ans plus tard François Hollande en fait partie.

Vingt ans plus tard encore, tout le monde en France peut en faire le bilan, après quatre ans de présidence Hollande s'ajoutant largement à cinq ans de présidence Sarkozy. Qu'on ne s'y trompe pas : le sieur Sarkozy aussi a un passé très lourd. Passé qui se prolonge au présent, bien sûr.

Sur ces dates mirifiques à méditer, bon anniversaire à tous !

bab



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dimanche 29 mai 2016

C'était un vingt-neuf mai...

C'était un vingt-neuf mai, et face aux pourris et aux Fricocrates en pleurs, le Peuple avait GAGNÉ !

Malgré des pressions inouïes, malgré des soutiens hystériques à Bruxelles de la part des journaleux, malgré des publicités massives, malgré les cassandres "aux ordres" qui prédisaient l'apocalypse en cas de NON, le Peuple réfléchissait.

Le Peuple prenait en mains le redoutable TCE, le Traité instituant la Communauté Européenne (depuis, pour brouiller les pistes, les  Eurocrates ont même changé ce nom en Traité sur le fonctionnement de l'union européenne). Le Peuple le triturait, portait le fer et le crayon dans les moindre anfractuosités de la bête, et le Peuple en sortait des merveilles de compréhension et des horreurs cachées derrière les mots. Ce n'était pas une mince affaire, vu la longueur de ce monument élevé à la Dictature de la Religion de l'Argent. Mais le Peuple a réussi à sonder les abîmes  où des personnages peu recommandables voulaient le précipiter.

C'est l'époque où (souvenir) je passais beaucoup de temps sur les forums d'un journal fort différent d'aujourd'hui, nommé Libération, quitte parfois à "lutter" gentiment avec Serge July, le patron de l'époque. En revanche le combat devenait âpre et sans pitié avec Jean Quatremer (il est toujours là), le correspondant à Bruxelles (il l'est toujours, signe qu'il est un pilier de la DOXA). 

Ce 29 mai, malgré l'aridité de l'objet de la consultation, nombreux furent les citoyens qui se déplacèrent pour voter. Les résultats officiels parlent d'eux-mêmes : 69,34%.

Sur cette participation exemplaire, volontaire, sans contestation, le oui obtint 45,32%, les blancs et nuls 2,51%, le non 54,68%. Chiffres tirés de Wikipedia, les autres sont moins précis. Sans doute certains se souviennent-ils encore des têtes des politiciens "de Cour" ce soir-là. Ils pouvaient tous se ramasser. Ou....


Ou ils pouvaient tricher, ce qu'ils ne manquèrent pas de faire avec application. Quitte à réécrire ce traité (rédigé sous la direction de Valéry Giscard d'estaing, je le rappelle), ils résolurent de le passer malgré tout. Des mains obscures de Bruxelles s'ingénièrent à rendre le texte illisible, sans en changer le sens ni la portée. On osa même parler de "traité raccourci" pour un texte en fait plus long.  Et quand ce fut prêt, le 4 février 2008 à Versailles, les parlementaires se couvrirent pour jamais d'opprobre en faisant que ce soit accepté. Certes ceux de l'UMP, la majorité de l'époque, votèrent généralement pour, mais vu qu'il fallait les 3/5 des suffrages exprimés pour que le vote soit remporté, il suffisait que tous les PS votent contre, et c'était fini. Mais non, certains ne sont pas venus (ils étaient 5), d'autres se sont abstenus (141), et même 32 ont voté pour ! Dès ce moment-là, la TRAHISON était consommée.

Sous le beau soleil de ce jour-là, la France a basculé en dictature. Le Peuple a été dépouillé  de sa souveraineté.
PROVISOIREMENT !

mardi 24 mai 2016

Les Européens ont dit NON à l'aberration nommée union européenne


mardi 27 mai 2014

Les Européens ont dit NON à l'aberration nommée union européenne

Un vieux proverbe paysan énonce "c'est à la fin de la foire qu'on compte les bouses" : il faut avoir tous les éléments d'un évènement pour espérer en tirer quelque leçon.
Eh bien, ô surprise ! Selon lémédia nous avons eu "une poussée des abstentions" qui se révèle parfaitement fausse.
Participation en France aux élections européennes
1979 1984 1989 1994 1999 2004 2009   2014
60,7 % 56,7 % 48,7 % 52,7 % 46,8 % 43,1 % 40,5 %  42,5%


On le constate : si 2009 fut un millésime "de refus", 2014 malgré une campagne lancée par un regroupement de mouvements dans un CNR-RUE, redresse le nombre de déplacements aux urnes. Des arguments mettant largement en valeur l'illégitimité de l'union européenne, et la nécessité en conséquence d'en sortir, n'ont pas eu l'impact attendu par des mouvements certes faibles en nombre.
Malgré tout, un fait demeure : si l'abstention a fléchi dans notre pays, ses voisins n'ont pas hésité à faire souvent bien mieux. Quel journal en a parlé ?

On remarquera que les pays dits "de l'est" ne sont pas épargnés par ce phénomène, alors qu'ils sont présentés comme ayant beaucoup à attendre de cette union européenne. Nous aurait-on trompés ? Si le Portugal est parmi les "mauvais votants", pratiquement tous les autres sont des anciens de derrière le "rideau de fer". Il faut aussi noter que, si la Belgique est parmi les champions du déplacement aux urnes, c'est que le vote y est obligatoire. Cette précision apportée, seuls le Luxembourg (on peut se douter des raisons) et Malte ont des scores que les technocrates qualifieraient de "décents".
Ces chiffres peu diffusés apportent bien la confirmation que l'union européenne s'est faite sans l'assentiment des peuples, à leur détriment, et qu'ils entendent bien protester de cette manière. Pas un commentateur n'aura soulevé "ce lièvre", soyons-en persuadés. Cependant, à Bruxelles, on peut imaginer que ces résultats sont auscultés avec une certaine inquiétude : voyons, les peuples deviendraient-ils rétifs ? Malgré l'enfumage généralisé, auraient-ils compris la situation ? Seraient-ils prêts à se soulever ? L'autorisation faite aux forces dites "de l'ordre" de tirer pour tuer en cas d'insurrection pourrait être la réponse anticipée à cette peur des pseudo-élites.
Citoyens de tous les pays, unissez-vous. Ils ont des tromblons, nous sommes des millions.

Une date funeste : le 23 décembre 1913

hop



vendredi 6 juin 2014

Une date funeste : le 23 décembre 1913

Le 23 décembre 1913, les plus puissants banquiers privés des États-Unis ont réussi à créer le Federal Reserve System, organisme de création monétaire des USA sur lequel l'administration de Washington n'a que des moyens limités de contrôle. Ce tour de passe-passe fut permis par une panique bancaire en 1908 qu'eux-mêmes avaient organisée. Avec des hauts et des bas, ce statut d'indépendance envers le Pouvoir théorique, celui sorti des urnes, mais d'allégeance complète aux trusts financiers, perdure aujourd'hui.
Quelle coïncidence ! A peine plus de six mois après cet évènement commença la Grande Tuerie. N'y avait-il pas d'argent à se faire sur un bon gros conflit armé, de préférence généralisé ?
Misant sur l'immense rancœur allemande, la Finance lança ses pions : après un premier coup raté dès 1920 (putsch de Kapp), un autre en 1923 (putsch de la brasserie, mené déjà par Hitler), l'opportune crise de 1929, durement ressentie en Allemagne, permit au peintre autrichien de se présenter comme le sauveur. Il avait de l'argent. Les financiers US se pressaient à sa porte, les industriels de la Ruhr n'hésitaient pas à le soutenir. C'est ainsi que se constitua une belle spéculation se monta une magnifique nouvelle guerre mondiale.
1941. Le Führer de plus en plus despotique devient peu maniable pour les banquiers d'outre-Atlantique. Il est temps de tourner la page. C'est ainsi que commencera l'aide à l'URSS, la mort dans l'âme pour des financiers qui abominent Moscou. C'est ainsi que se préparera le débarquement par l'ouest, donc en Normandie, alors que le Reich commence à chanceler après les grandes défaites de Moscou, puis Stalingrad et Koursk. Ce n'est plus qu'une question de temps. Il faut désormais aller le plus loin, le plus vite possible vers l'Est avant que "le régime" soviétique n'empiète trop sur les territoires qu'il ne manquera pas de libérer.
6 juin 1944. La Grande Finance débarque en Basse-Normandie, sous la forme de milliers de bateaux, d'avions, de chars, de Jeeps, et d'humains pour les conduire et les piloter. Objectif : foncer tout de suite vers le cœur de l'Allemagne et prendre position sur l'Elbe, là-bas, voire plus loin encore. Donc, éviter des villes comme Paris dont le sort est le cadet des soucis pour les rapaces de Wall Street. Il faudra le charisme de Leclerc pour forcer la main à Eisenhower, et permettre de sauver la capitale avant qu'elle ne saute. Déjà, la poche de Falaise avait rudement brisé l'élan des divisions débarquées.
Cet élan sera encore plus durement freiné par la contre-offensive des Ardennes, bien préparée, mais qui finit par échouer faute... d'essence. La pression russe ne se relâchant pas à l'Est, ce sont les chars à l'étoile rouge qui pénétrèrent les premiers à Berlin. La "paix" hâtivement signée, il ne restait plus qu'à bloquer l'avancée rouge à l'Est, en précipitant la signature du Japon déjà agonisant : DEUX bombes de la Grande Mort obtinrent ce résultat, au prix (insignifiant pour un trader) de deux cent mille victimes de plus.
Le 6 juin 1944 ne fut donc qu'un simple moment de cette avancée invasive de la Finance US. Ayant mis le pied en masse sur le sol européen, elle n'en repartit plus. De Gaulle l'ayant chassée de France, elle se contenta de s'installer tout près, à Bruxelles, avec son quartier général opérationnel à Mons. Comment, désormais, sera-t-il possible de la chasser ?

Quelle Europe voulons-nous, quelle Europe fantoche on nous a imposée ?

mardi 26 août 2014

Quelle Europe voulons-nous, quelle Europe fantoche on nous a imposée ?

Qui ne parle d'Europe, d'Europe, d'Europe  ? Encore faudrait-il définir ce dont on parle. Est-ce  celle qui, comme la définissait De Gaulle, s'étend "de l'Atlantique à l'Oural" ?  Si selon la géographie physique, cela se tient, les "rois" (pour simplifier le qualificatif) en ont pris à leur aise avec cette conception naturelle. Il est amusant de voir combien les frontières qui la divisent plus ou moins arbitrairement ont fluctué à travers les siècles.
(la vidéo qui le soulignait n'est plus disponible)
CETTE Europe qui nous tient dans ses serres aujourd'hui date de loin. Pourquoi Hitler a-t-il été si soutenu financièrement par les banquiers et industriels étatsuniens ? C'était bien avec une vision à long terme. Il n'a été lâché que quand il a voulu n'en faire qu'à sa tête, à partir de 1941. Dès 1943-44, Monnet et Schuman étaient "en stage" aux States, c'étaient les prédécesseurs de ceux qu'on appelle maintenant "les Young Leaders". Si on veut savoir qui sont nos ennemis, penser Washington + Wall Street + City of London. Cela ne date pas d'hier, voir qui était William Pitt, qui s'est toujours opposé à Napoléon, au point de lui faire commettre des erreurs.

L'Angleterre s'est toujours opposée à la création d'une Europe continentale unie (dont elle n'aurait de toute façon pas fait partie). En revanche, cette pseudo-Europe qui n'existe que du point de vue économique agrée à Londres et Washington, puisque ce sont ces deux entités gouvernementales qui mènent la danse. L'union européenne n'est qu'une colonie des anglo-saxons, avec l'avantage qu'il est possible d'y aller à pied sec grâce au tunnel sous la Manche. A-t-on remarqué que l'Europe tout entière est à peine aussi grande que le Canada tout seul ? Et hop ! un Dominion de plus. Avec des esclaves en voie de fructueuse paupérisation. La pompe est très bien amorcée.
L'Europe que l'on peut aimer doit au moins avoir été désirée par ceux qui accepteraient politiquement d'en faire partie. Il faudrait donc pour cela quitter ce qui n'est qu'un montage financier à grande échelle, pour redéfinir ensemble pourquoi nous, citoyens, voulons être ensemble. La France est depuis des siècles le fruit d'un consensus enthousiaste, dont les points d'orgue furent la Fête de la Fédération et la victoire de Valmy.  Déjà, dès 1214 (il y a donc neuf cents ans !) ce fut une coalition des seigneurs français ET des milices communales qui a permis de remporter une victoire retentissante à Bouvines face à un front européen des ducs, empereurs, comtes et autres grands seigneurs.  Ce désir commun de travailler ensemble doit se retrouver dans la constitution d'une véritable Europe où chacun se sent partie prenante et élément d'un TOUT plus fort que ses parties. Ce n'est pas jusqu'à présent ce que des banquiers et autres coupeurs de bourses ont mis en place, bien au contraire.  
On notera que la langue commune est déjà un facteur important.  Faudra-t-il une nouvelle Ordonnance de Villers-Cotterêts,  comme en 1539,  pour définir un langage commun ? A tout le moins, il est plus facile à imaginer un certain rapprochement, plus fort qu'actuellement, entre les langues latines, qui sous-entendent certains traits communs de civilisation et de culture. Avec les autres pays, ce sera plus difficile assurément. De là à penser que pourraient se constituer plusieurs Europes avec des passerelles assez lâches.... c'est plutôt envisageable.

Pour résumer, la première chose à faire, ce sera pour la France de se défaire de ses dirigeants actuels, esclaves volontaires ou non d'une logique financière nauséabonde et aberrante.  Celle qui est la base même de la culture anglo-saxonne. Il faudrait sans doute rechercher les origines de cette culture. En particulier il s'agit d'une île ayant eu besoin, ou ayant fait le choix, de commercer pour survivre.  La Grande-Bretagne et ses nombreuses possessions (y compris "les États-Unis", toujours aussi dépendants de fait de la City)  ont porté aux nues, y compris dans leur religion, ce culte de la "réussite" d'une vie concrétisée par une "réussite" financière égoïste. Ces notions s'opposent à la vie en Europe continentale de l'ouest. 

Clivage linguistique, clivage religieux, clivage culturel, difficultés de communications jusqu'à une période très récente, tous ces facteurs ont rendu une Europe unifiée difficile à concevoir et à mettre en œuvre.  C'est maintenant, sans doute, que les tout premiers jalons pourront se poser. Et bien entendu, sans "un grand frère" aux visées toutes différentes pour superviser et orienter ce processus à son profit.

Voilà pourquoi il est nécessaire de mettre à bas l'union européenne, un non-sens dont les effets se font sentir de façon dramatique, et de plus en plus. Dommage que, parmi les personnalités politiques, si peu acceptent de mettre cette évidence à leur programme.

De l'Europe nous sommes sortis, mais "les chefs" ne s'en sont pas aperçus

hop


samedi 25 octobre 2014

De l'Europe nous sommes sortis, mais "les chefs" ne s'en sont pas aperçus

Beaucoup de gens le savent, certains même le disent. Il faut se débarrasser de cette union européenne qui veut entraîner non les politicards, mais les citoyens dans une débâcle indescriptible. Il suffit de penser à la Grèce. Mais il suffit de penser aussi à l'état des étatsuniens de base. Pour rappel, le taux de pauvreté là-bas est de 46,5 millions de personnes, soit 15% de la population. Mais la situation s'aggravant de jour en jour, ce sont 80% qui soit y sont déjà, soit risquent d'y basculer d'un jour à l'autre.
Récemment, j'ai aidé mon amie Chantal Dupille, journaliste,  à finaliser, puis auto-éditer son ouvrage "Au cœur de la pègre américaine". Cela m'a amené, au gré des témoignages recueillis sur le vif, des extraits d'archives (10 ans de travail), à me brosser un tableau hallucinant de ce qu'est la vie pour tous ceux qui ne sont pas WASP ou équivalent. Encore cette étude n'est-elle pas à jour, puisque ses sources les plus récentes dataient d'avant l'an 2000. Cependant, elle exprime bien cette pente toujours descendante : en effet les fondamentaux de ce pays font primer l'effort individuel, le "chacun pour soi", la "réussite matérielle" face à la volonté de s'en sortir tous. L'intérêt aussi, est de se dire que les financiers appuient de toutes leurs forces, pour entraîner l'Europe dans les mêmes travers, malgré un contexte différent. D'où ce forcing pour casser la commune, le département, la langue, les données culturelles, l'État, tous les repères, quoi.
Et la seule façon de procéder, pour contrer cette avalanche de diktats via Bruxelles (simple boîte aux lettres), c'est de sortir unilatéralement et en force de tous les traités depuis celui de Rome. On notera qu'en 2005 les Français ont dit non à un texte long, certes, mais qui rappelait tous les traités successifs. Ils ont donc déjà dit non à tous les traités, y compris celui de Maastricht : en effet, et je m'en souviens fort bien, faute de discussions sur un Internet encore inexistant ou presque, il n'y a eu qu'une seule voix dans les médias, celle pour le Oui. On rira d'ailleurs de se rappeler que, malgré ce forcing, le traité était passé de justesse dans un référendum à la campagne pourtant profondément biaisée.
La vox populi étant supérieure en légitimité et en droit aux politiciens, depuis le 30 mai 2005 nous ne sommes plus dans l'union. La sortie effective correspondra donc à la mise en application par décret d'une décision claire exprimée antérieurement. Une telle mesure peut donc se prendre à l'improviste, le Peuple s'est exprimé sans ambiguïté par avance.
C'est d'ailleurs ce que le PG n'a pas compris, ou pas voulu comprendre. Mais l'UPR, qui compte quitter Bruxelles en faisant appel à l'article 50 d'un traité qu'il dénonce, n'est pas plus cohérente. Au point d'ailleurs d'avoir présenté des candidats à une assemblée strasbourgeoise réputée illégitime par le peuple. On se souviendra du taux d'abstention aux deux dernières consultations dites "européennes". Pour les autres partis, tous les autres partis, ils sont soit parties prenantes dans la grande course néolibérale, soit englués dans celle-ci en raison de leur mondialisme (cas du NPA par exemple).
Le M'PEP doit dès à présent reprendre seul un flambeau qui traîne, bien que depuis six ans déjà il en soit le soutien, et le présenter à tous en se présentant lui-même comme la seule force crédible de ce XXIe siècle. Lui seul a appelé au boycott de la dernière consultation européenne, mais aussi a expliqué, expliqué, expliqué les raisons de son choix, mais aussi est prêt à proposer aux électeurs des candidats munis de cette option, ainsi de ce qui en découle en matière de politique. On se souviendra qu'il s'appuie sur ce que les USA (tiens, encore eux)  avaient sabordé : ils avaient refusé de ratifier  la Charte de la Havane  en 1948. On se souviendra qu'il est résolu, dans un contexte différent certes, à appliquer à nouveau les fondamentaux du CNR.
Il n'est pas trop tard : si une majorité de citoyens se lèvent pour soutenir cet engagement pour "chez nous", comme pour les relations internationales, des lendemains, voire des surlendemains qui chantent sont encore possibles.

C'est LA GUERRE

Re...




vendredi 21 novembre 2014


C'est LA GUERRE

LA GUERRE, JE SUIS





Reprise, actualisée, d'une chanson si belle et si terrible.
bab

Union européenne, comme URSS : plus dure sera la chute

A nouveau....


vendredi 28 novembre 2014


Union européenne, comme URSS : plus dure sera la chute

Je viens de découvrir une vidéo, d'un Russe très pertinent :  il a décelé toutes les failles de l'ex-URSS , et démontre que l'union européenne suit point par point la même pente. La conclusion est sans appel : comme l'URSS, l'union européenne tombera, et ne laissera que ruines physiques et aussi souvent dans les têtes.

Voici ce document très important et très lucide.


Malheureusement pourquoi l'UPR "ramène-t-elle sa fraise" à la fin ? Ce n'est pas le seul parti qui a pour principal souci la sortie de l'union européenne. Mais aussi bien entendu de l'euro, de l'OTAN (complètement), du FMI, de la banque mondiale, de l'OMC....  *

De plus, il a démontré qu'il ne s'y prend pas de la bonne manière. Avoir présenté des listes aux dernières élections au parlement européen "pour avoir une tribune", c'était inefficace, et cela a contribué à donner une légitimité à un régime illégitime.

Le M'PEP a soutenu au contraire le boycott par l'abstention, justement pour refuser d'entrer dans £€ $¥$T€M€.

L'UPR entend sortir de l'union européenne "grâce à l'article 50". L'article 50 de quoi ? D'un traité que les citoyens français ont largement refusé le 29 mai 2005, même si désormais on le présente sous un autre nom. Donc se servir d'un article illégitime d'un traité illégitime, n'est-ce pas incohérent ?

Le M'PEP au contraire entend s'appuyer sur la décision du peuple-nation français de refuser ce traité, et les précédents (qui étaient inclus dans le texte soumis à référendum). Le 30 mai 2005 au matin, nous étions sortis de ce bourbier, ce sont simplement des dirigeants félons, suivis par des "parlementaires" moutonniers", qui en ont arbitrairement décidé autrement. On appelle cela un coup d'État, bien que les médias aux ordres n'aient jamais prononcé le mot. Cela veut dire aussi que, depuis cette date, aussi bien les "représentants du peuple" que les hauts fonctionnaires ne sont plus rien pour le Peuple, et doivent tous gicler, afin de laisser à la place au Peuple Souverain et à une nouvelle donne politique et économique où la grande finance n'a plus du tout son mot à dire.
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*    Le M'PEP se réfère en particulier, pour reprendre les relations internationales d'une tout autre façon, de la Charte de La Havane de 1948 instituant l'Organisation Internationale du Commerce, et aussi de la Déclaration de Cocoyoc de 1974.
Si l'OIC n'a pas pu être mise en place, c'est parce qu'à la suite d'un changement de majorité au Congrès, les USA ont refusé de ratifier le protocole. Il n'est pas trop tard, sur les mêmes bases, ou des termes très voisins, de reprendre le processus quitte à écarter "l'Occident" devenu ultra-libéral.

USA - Europe - des criminels particulièrement odieux et jamais jugés ?

Encore une reprise.....




vendredi 12 décembre 2014

USA - Europe - des criminels particulièrement odieux et jamais jugés ?

Un manifeste m'est parvenu : certes il est long ; certes il est grandiloquent et son panégyrique de la république nord-coréenne demanderait des nuances. Mais il a su reprendre l'état du Monde tel qu'il se retrouve sous le joug de quelques puissances dites "Occidentales" au cynisme plus que démesuré. C'est pourquoi je me permets de le reprendre ici.

Le trop grand dirigisme en Corée du Nord ne saurait occulter l'abomination jamais remise en cause que constituent l'administration étatsunienne, et ses serviles valets d'Europe, sources continuelles de massacres et de morts d'enfants par malnutrition.
bab

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Mobiliser pour Construire
ACTION TCHADIENNE POUR L'UNITÉ ET LE SOCIALISME / PARTI RÉVOLUTIONNAIRE POPULAIRE ET ÉCOLOGIQUE
Chadian Action for Unity and Socialism/Popular and Ecological Revolutionary Party
( ACTUS/prpe)
E-mail : actus_pr@yahoo.com


N/Réf : 20 /11/SG/2014



Déclaration de Soutien et de solidarité révolutionnaire de ACTUS/prpe à la République Démocratique et Populaire de Corée, suite au vote sanction de l’Onu du 18.11.2014, initié par les puissances impérialistes.

Le 18 novembre 2014, la Commission de l’Assemblée générale de l’ONU a voté une résolution visant à traduire la République Démocratique et Populaire de Corée (RDPC) devant la Cour pénale internationale (CPI), pour violation des droits de l’homme et crimes contre l’humanité.

Notre Parti, ACTUS/prpe s’insurge et condamne cette décision injuste commanditée par les USA et leurs alliés impérialistes occidentaux. Cet acharnement contre la RDPC sous le fallacieux refrain de prétexte, ne cacherait-il pas une nouvelle guerre contre ce paisible État de la péninsule coréenne?

La RDPC, pays socialiste véritablement souverain, mène une politique indépendante non soumise à la volonté et aux intérêts des puissances impérialistes. L’insoumission de ses dirigeants à l’occident, déclencherait-elle une nouvelle escalade militaire contre ce pays ?

Quels crimes de guerre, d’occupation coloniale, la RDPC aurait-elle commis à l’égard d’autres peuples ?

Les droits fondamentaux des masses populaires en matière de santé, d’éducation, de logement, d'emploi… qui constituent les droits vitaux indispensables à l’homme sont gratuits et garantis par les dirigeants de la RDPC. Ce pays ne mérite t-il une telle sanction injuste pour le fait de garantir le bien-être social à son peuple ? Quelle paradoxale logique.

En revanche dans de nombreux pays d’Afrique, notamment ceux des anciennes colonies de la France, pourtant riches en ressources naturelles, les droits vitaux et fondamentaux de l’homme sont violés. Les masses populaires en sont privées, provoquant ainsi des millions de morts. Pourquoi certains dirigeants africains et leurs pays n’ont-ils jamais été jugés pour violation des droits de l’homme et crimes contre crimes contre l’humanité Pourquoi la commission des droits de l’Homme de l’ONU demeure-t-elle aphone et aveugle sur les crimes contre l’humanité commis par les puissances impérialistes dans leurs guerres coloniales en Irak, en Syrie, en Libye…faisant des millions de morts ?

D’autres crimes économiques tels que les embargos économiques, les pillages des ressources naturelles, la dictature monétaire… des puissances impérialistes occidentaux ont eux aussi causé des millions de morts dans les pays du sud. Pourquoi ces flagrants crimes contre l’humanité n’ont-ils jamais suscité la mobilisation de la Commission des droits de l’homme de l’ONU ?

La partialité onusienne à l’égard de la RDPC est manifeste. Cette injustice ne serait-elle pas une fuite en avant des puissances impérialistes afin de masquer leurs propres crimes contre l’humanité? L’arbre pourrait-il cacher indéfiniment la forêt ?
 
Sous le fallacieux prétexte de la « défense des droits de l’homme », les puissances impérialistes se préparent à attaquer la RDP de Corée. La stratégie des puissances impérialistes est dorénavant bien rodée. Sous prétexte « de la défense des droits de l’homme, de sauver les peuples massacrés par les régimes dictatoriaux, de la défense de la démocratie, d’intervention humanitaire… », elles instruisent les organismes de l’ONU, puis le Conseil de sécurité adopte une résolution d’intervention « militaire humanitaire ». C’est ainsi que furent légitimées :

- L’intervention militaire des USA en Irak a été une expédition coloniale punitive et d’occupation du pays. De mars 2003 jusqu’au départ fin 2011 des derniers soldats étatsuniens, une tragédie s'était abattue sur ce pays. En effet, le Président Saddam Hussein a été assassiné, entre 300.000 à 1,5 millions d’irakiens sont morts, selon les estimations (Sources : The Lancet, Iraq Body Count).

Un pays naguère le plus développé du monde arabe, ressemble aujourd’hui à un véritable champ de ruines. La Commission des droits de l’homme devrait plutôt sanctionner les USA pour crimes contre l’humanité et non la RDPC qui n’a pas commis de tels crimes contre l’humanité.

- Le 11 avril 2011, les troupes françaises ont bombardé le palais présidentiel de Côte d’Ivoire. Elles ont capturé le président légitime Laurent Gbagbo, un dirigeant africain nationaliste et insoumis, puis elles ont procédé à sa déportation à La Haye en Hollande pour y être jugé par la CPI. Plusieurs centaines de morts ont été dénombrés. Cette expédition coloniale punitive sur le palais présidentiel d’un état souverain, est un acte de terrorisme d’état, une violation flagrante du droit international. Ces crimes contre l’humanité devraient plutôt mobiliser la Commission des droits de l’homme de l’ONU que cet acharnement contre la RDPC qui n’a jamais envahi militairement, tuant les populations d’un pays, ni déporté son président.

- Pendant plusieurs semaines, la coalition militaire de l’OTAN (Usa, France, Grande Bretagne) a bombardé la Libye. Le Guide Mouammar Kadhafi fut assassiné le 20 octobre 2011. Selon les différentes estimations de la presse, ce déluge de bombes otaniennes auraient fait plus de 100000 morts. Depuis lors, la démocratie et les droits de l’homme que les impérialistes prédateurs prétendaient installer en Jamahiriya arabe populaire et socialiste de Libye, n’ont jamais vu le jour.

Ce pays africain, qui fut naguère l’un des États les plus avancés d’Afrique, est transformé aujourd’hui en un champ de ruines, où prospèrent les groupes islamistes terroristes, alliés des ces mêmes puissances impérialistes contre le Guide Mouammar Kadhafi.
Au demeurant, il conviendrait de rappeler que dans les années 80, afin de lutter contre le communisme incarné par l’ex-URSS, les USA ont créé, équipé, et financé le groupe terroriste jihadiste Al qaeda de Ben Laden qui a pris le pouvoir en Afghanistan.

En Libye, ce fut le même scénario : les puissances impérialistes occidentales ont assassiné le Guide Mouammar Kadhafi, ce révolutionnaire panafricain lui aussi insoumis, pour introniser au pouvoir les groupes terroristes islamistes. Ici aussi, la Commission des droits de l’homme devrait plutôt sanctionner les puissances
impérialistes et la Libye des terroristes pour crimes contre l’humanité et non la RDPC qui n’a pas commis de telles abominations.

- La guerre en Syrie déclenchée par les puissances impérialistes occidentales et leurs alliés jihadistes terroristes depuis 2011, a coûté la vie à plus de 200000 morts et 2,5 millions de réfugiés. (Sources : Journal du Dimanche, Le Soir, 20 Minutes). Leur objectif demeure l’assassinat du président légitime et insoumis, le Dr Bachar Al Assad afin de pouvoir recoloniser la Syrie.

L’échec du projet impérialiste est cinglant car la résistance et la détermination du peuple syrien contre la guerre impérialiste, demeurent intactes et tenaces.

Le président Bachar Al Assad est toujours au pouvoir, fermement fermement soutenu par le peuple syrien. Où se cache alors la Commission des droits de l’homme de l’ONU pour ne pas prendre des sanctions à l’égard des puissances impérialistes et leurs alliés jihadistes pour crimes contre l’humanité ? La RDPC ne s’était jamais alliée aux terroristes jihadistes pour exterminer les populations d’aucun pays au monde.

Le droit et le devoir de la RDPC à la défense de son peuple, de l’intégrité de son territoire, de sa souveraineté,de son indépendance et de ses institutions sont inaliénables.

Les agressions militaires des puissances capitalistes impérialistes depuis une décennie, leur volonté de recoloniser, le moyen orient, l’Afrique, de détruire dans le monde les pays dont les dirigeants sont insoumis à leurs diktats et autres oukases, d’assassiner les dirigeants, anti-impérialistes, révolutionnaires ou simplement nationalistes... sont autant des crimes contre l’humanité qui mériteraient objectivement plutôt de traduire leurs auteurs en justice par la Commission des droits de l’Homme de l’ONU.

C’est sur la base de cette logique de domination du monde, que les puissances capitalistes impérialistes occidentales continuent de lancer leur hostilité endémique, leurs campagnes effrénées de diffamations ou leurs embargos économiques… institutionnalisés à l’égard de la RDP de Corée, fondée par le Juche Kim il Sung en 1945, ou de Cuba socialiste de Fidel Castro depuis 1959.
Le comportement belliqueux, haineux des impérialistes a été aussi dirigé contre les pays et leurs dirigeants insoumis, nationalistes, progressistes, ou révolutionnaires communistes : l’Ex URSS du Généralisme Staline dont l’ombre continue à troubler le sommeil des impérialistes occidentaux et du système capitaliste mondial, et ce malgré sa mort en 1953, la République populaire de Chine de Mao, le Vietnam socialiste de Ho Chi Minh, l’Algérie de Houari Boumediene, la Bolivie de Evo Morales, le Zimbabwe de Robert Mugabe, le Venezuela d’Hugo Chavez, le Nicaragua de Daniel Ortega, l’Iran d’Ahmedi Najad, la Syrie de Bachar Al Assad, la Jamahiriya de Libye de Kadhafi, le Bukina Faso de Thomas Sankara, le Congo Kinshasa de Patrice Lumumba, le Congo Brazzaville de Marien Ngouabi, l’Irak de Saddam Hussein, l’Éthiopie du Colonel Mengistu Hailé Mariam, la Guinée de Sékou Touré, l’Égypte de Nasser, l’Albanie d’Enver Hodja, la République démocratique d’Allemagne d’Erich Honecker, la Belarus de d'Alexandre Loukachenko, le Chili de Salvador Allende…

La RDPC, créée par le Juché Kim il Sung en 1945, est un état pacifique qui n’a jamais agressé aucun pays, ni mis en danger la paix internationale. Par conséquent, elle ne devrait nullement susciter une telle mobilisation de surcroît injuste de la Commission des droits de l’Homme de l’ONU.

Les véritables auteurs de menace sur la paix mondiale, de crimes contre l’humanité sur tous les continents, demeurent incontestablement les puissances impérialistes capitalistes et leurs guerres coloniales de rapine.

La RDPC est un pays socialiste dont tous les dirigeants successifs depuis 1945, Kim Il Sung, Kim Jong Il et Kim Jong-Un, ont toujours maintenu une politique de défense populaire efficace, afin de préserver les intérêts sociaux du peuple, fruit des acquis du socialisme de la pensée du Juche Kim Il Sung. Tous les dirigeants de la RDPC ont garanti fermement l’intégrité territoriale et la souveraineté du pays.

Cette politique d’indépendance nationale est basée sur l’élaboration d’une défense militaire puissante de l’Armée populaire de Corée qui dispose de l’Arme nucléaire. Cette puissance militaire permet ainsi au pays de dissuader
toute velléité d’invasion militaire de la RDPC par les puissances impérialistes notamment les USA dont l’objectif demeure l’asservissement colonial de ce pays insoumis, courageux, digne et fier.

Cette vaillante résistance du peuple héroïque de la RDPC face aux agressions militaires et économiques des puissances impérialistes occidentales, provoque la furie guerrière de ces dernières, qui sont revenues à la charge par le subterfuge du vote du 18 novembre 2014 par la Commission de l’Assemblée générale de l’ONU, de la résolution sur les prétendus « crimes contre l’humanité » commis par les hauts dirigeants de la RPDC.

Les puissances impérialistes occidentales sont complices des violations flagrantes des droits de l’homme en Afrique. Elles font l’apologie des dictateurs qui sont par ailleurs leurs alliés.

En matière de la défense des droits de l’Homme, les puissances impérialistes ont une lecture et application partiales et à géométrie variable. En effet, elles sont aphones et aveugles dans tous les pays notamment d’Afrique francophone où la France impose militairement ou par complicité des hold-up électoraux, des tyrans criminels aux peuples en qualité de Présidents.

Ces faits gravissimes durent depuis les indépendances fictives de 1960 de ces pays. Qui oserait encore nier cette évidence que depuis 24 ans, les troupes françaises sont intervenues à plusieurs reprises au Tchad pour sauver et imposer le tyran Général-président Idriss Déby contre la volonté du peuple tchadien entré en rébellion? La dernière opération militaire française de sauvetage du Président Idriss Déby date de février 2008. Les Forces spéciales françaises ont décimé les forces de résistance nationale qui encerclaient le palais présidentiel.(Sources : La Croix, Le Figaro, Février 2008)

Le Général-Président Idriss Déby, continue de commettre des crimes contre l’humanité, avec la complicité des gouvernements français successifs, qui le défendent devant toutes les Assemblées de la Commission des Droits de l’Homme de l’ONU, et ce, malgré les preuves incontestables, et accablantes sous les regards bienveillants des diplomates occidentaux accrédités et les troupes françaises disséminées dans leurs bases au Tchad. La France et ses alliés occidentaux ont décidé d’absoudre le Tchad de la justice internationale et pourtant le peuple vit un enfer depuis 24 ans.

Le 11 novembre 2014, les populations des trois grandes villes du Tchad (N’Djaména la capitale, Moundou et Sarh) ont massivement manifesté pacifiquement dans les rues contre la cherté de la vie, les violations des droits de l’homme (assassinats, arrestations arbitraires, détentions sans jugements…) et contre les injustices sociales (népotisme, corruption, détournements des deniers publics, prédations des ressources de l’État…). La police a alors tiré sur les foules faisant plusieurs morts, blessés graves et de nombreuses arrestations. Au demeurant, il conviendrait de rappeler que ces forces de répression sont équipées par la France et encadrées par des Conseillers militaires français.

Les médias bourgeois, et les prétendus défenseurs des droits de l’homme en occident ne se sont guère mobilisés. C’était le silence assourdissant chez les dirigeants politiques occidentaux, car il n’y a eu aucune condamnation, ni indignation, ni une quelconque volonté de saisine du Conseil de sécurité pour une éventuelle intervention « militaire humanitaire », afin de « sauver » le peuple tchadien contre les massacres de leur valet, le Général-Président Idriss Déby.

En RDPC, les droits et besoins fondamentaux de l’homme (Santé, éducation, logement, nourriture, emploi…) sont garantis pour les masses populaires par la constitution initiée par le Parti de Travail de Corée et la pensée du Juche Kim Il Sung. De telles manifestations comme celles du Tchad et dans de nombreux pays d’Afrique pour revendiquer les droits et besoins fondamentaux de l’homme, n’ont pas lieu d’être. Si de tels événements tragiques avaient eu lieu en RDPC, l’humanité entière se serait écroulée sous le poids des torchons d’insanités, de condamnations, de diffamations…. dans les médias et la presse bourgeoise. Ce déferlement nauséabond polluerait nos yeux, nos oreilles, voire nos odorats.

Comment les prétendus défenseurs des droits de l’Homme occidentaux, peuvent-ils ignorer les centaines de milliers de morts tchadiens causés par le régime tyrannique du Général président Idriss Déby depuis 24 ans ? Pourquoi ferment-ils les yeux sur la tragédie du peuple tchadien ? En effet, le Tchad est un état de surcroît pétrolier, mais dont les masses populaires vivent dans la misère absolue, sans eau potable, sans électricité, sans logements décents, sans soins élémentaires médicaux, les écoles des campagnes sont dépourvues de bâtiments et parfois les cours ont lieu à l’ombre des arbres à même le sol en pleine nature. La famine est à l’état endémique, la malnutrition extermine les enfants ou compromet à jamais leur développement.

« Au Tchad, deux enfants sur cinq souffrent de malnutrition chronique et un enfant sur six de malnutrition aiguë sévère, soit le taux le plus élevé en Afrique centrale et occidentale, estime le Fonds des Nations-Unies pour l'enfance (UNICEF) ». Selon cet organisme de l’ONU, plusieurs milliers d’enfants souffrent de malnutrition aiguë sévère en 2012 chaque année. En 2012 ce chiffre est supérieur à 127300 (Source : UNICEF 2013).

Eu égard à la tragédie que vivent les masses populaires au Tchad, les gesticulations malveillantes des impérialistes autour de la RDPC, sont injustes, abjectes et révoltantes. Elles ne peuvent susciter qu’un profond dégoût chez les tous les communistes, révolutionnaires et amis de ce paisible pays socialiste, crée en 1945 par le Juche Kim Il Sung. En effet, les crimes contre l’humanité qui se passent dans l’arrière cours de la France qu’est le Tchad et chez les autres puissances impérialistes sont occultés car entourés d’un silence complice assourdissant.

L’imposture intellectuelle et les mensonges institutionnalisés par les puissances impérialistes sur la prétendue « défense » des droits de l’homme sont une vérité indéniable. Aucune personne sensée, aussi peu soit-elle, ne saurait croire ou apporter le moindre crédit à leur cynique refrain, destiné à d’anesthésier l’opinion hostile avant de commettre leurs crimes de guerre congénitaux dont elles raffolent.

Les puissances impérialistes occidentales définissent les expressions « crimes contre l’humanité, violations des droits de l’homme… », les faits qu’elles auraient elles mêmes décrétés comme tels, suivant leurs cyniques projets. A cet effet, elles désignent toujours à leur convenance les pays dont les dirigeants insoumis mènent une politique indépendante (RDP Corée, Cuba, Venezuela, Syrie, Russie, Iran, Zimbabwe, Bolivie, la Belarus…) Ce fut le cas dans le passé des Leaders de la RDP de Corée : Kim Il Sung, Kim Jong Il, et aujourd’hui, c’est au tour du Leader Kim Jong-Un d’être vilipendé, calomnié par la presse bourgeoise.

Inversement, les régimes criminels et valets de l’impérialisme, ne sont jamais traités de dictatures et leurs crimes contre l’humanité n’ont jamais existé à leurs yeux. Afin de minimiser ces crimes commis par leurs valets, Présidents en Afrique, ces puissances impérialistes les qualifient de « quelques petits dérapages, des dégâts collatéraux des forces de l’ordre, de répressions excessives… » En d’autres termes, elles approuvent les répressions des peuples révoltés, mais seulement avec un nombre de morts acceptable selon leurs propres critères. Quel cynisme d’encourager les massacres des populations ! une terrifiante conception de la défense des droits de l’homme de ceux là-même qui s’autoproclament défenseurs de la démocratie et des droits humains.

Les masses populaires africaines opprimées, n’accepteront jamais cette conception sélective des droits de l’homme à la sauce de l’impérialisme occidental.

La politique d’absolution à la justice des dirigeants soumis est appliquée par la France dans tout son pré-carré d’Afrique : au Burkina Faso le dictateur Blaise Compaoré a régné 27 ans après avoir assassiné en 1987 le Président révolutionnaire Thomas Sankara, par ailleurs un ami de la RDP de Corée. Au Gabon depuis 1960, Bongo le père puis le fils gouvernent. Il en est de même au Togo du Général Eyadema. Au Cameroun, le Président Paul Biya trône depuis le 06 novembre 1982. En Centrafrique, Dacko, Bokassa, Kolingba, Patassé, Bozizé… tous les protégés de l’impérialisme Français se sont succédés au pouvoir depuis 1960. Au
Congo Brazzaville, le Général Sassou est au pouvoir depuis plus de 30 ans, au Sénégal ce fut aussi une passation de service depuis 1960 entre les serviteurs de l’impérialisme français du président Senghor à Macky Sall en passant par Abdou Diouf et Abdoulaye Wade, il en de même pour le Niger de Hamani Diori à Mahamadou Issoufou…

En conclusion, les dirigeants criminels soumis et alliés de l’impérialisme occidental sont assurés tous risques et leur longévité au pouvoir est garantie. Ils jouissent d’immunité pour massacrer à satiété leurs peuples qui se révoltent contre le système capitaliste d’exploitation de l’homme par l’homme, lequel aggrave leur paupérisation.

Nous constatons avec forte amertume, que les droits de l’homme n’ont pas droit de cité dans les pays d’Afrique, dirigés par les valets de l’impérialisme. Il faudrait plutôt parler des droits de la défense des intérêts impérialistes et d’exploitation des peuples.

Les droits fondamentaux de l’homme, sont les éléments indispensables qui contribuent à son bien-être général. Ils sont garantis en RDPC par le parti et la constitution. En RDP de Corée, tous les Leaders n’ont jamais été imposés, ni protégés par aucune puissance impérialiste occidentale. Ils sont par conséquent une émanation profonde de la volonté du peuple sous la bannière du Parti de Travail de Corée (PTC).

Contrairement à certains Présidents africains qui sont en réalité des « Gouverneurs-délégués » de la France en Afrique, en RDP de Corée, toutes les décisions du pays sont prises souverainement par leurs dirigeants à Pyongyang et non à Paris, Washington, Londres, ou Berlin. et ce conformément au programme politique du Parti de Travail de Corée et dans l’intérêt des masses populaires.

La politique extérieure de la RDPC est indépendante et n’est soumise à aucun diktat ou subordination des puissances impérialistes occidentales, de même que sa politique économique et sociale socialiste qui est au
service du bien-être des masses populaires et non en faveur des intérêts des multinationales capitalistes, véritables prédatrices des richesses des pays d’Afrique et ceux du Sud.

Les droits fondamentaux de l’homme sont tous les éléments indispensables qui contribuent à son bien-être général. A cet effet, la RDP de Corée assure efficacement et collectivement aux masses populaires la gratuité de la santé et de l’éducation. L’état met à la disposition des masses populaires, des logements modernes. Il garantit l’emploi permanent pour tous, et enfin de la nourriture en quantité et qualité, et ce malgré les multiples catastrophes naturelles et la présence d’une grande superficie des régions montagneuses au détriment des terres
cultivables.

A l’inverse, de nombreux pays d’Afrique comme le Tchad, asservi par le néolibéralisme des impérialistes occidentaux, malgré ses colossales ressources naturelles, notamment les revenus du pétrole, demeure parmi les 10 derniers pays les plus pauvres du monde. Voici quelques données qui confirment les conséquences de l’exploitation du système capitaliste, la misère abyssale dans laquelle vivent les masses populaires tchadiennes :
- Selon le rapport du PNUD 2013, l’Indice de développement humain (IDH) du Tchad est 0.372. Le pays occupe donc la 183ème place sur 187 pays.
- Le taux de mortalité maternelle (décès pour 100000 naissances vivantes) en 2010 est de 1100 femmes pour le Tchad contre 80 en RDPC.
- La Mortalité infantile en RDPC est de 23 pour 1000 contre 89 au Tchad.
- L’espérance de vie à la naissance au Tchad est de 52,1 ans contre 70 ans en RDPC.
- La couverture des soins prénataux est de 100% de naissances vivantes en RDP Corée contre 53,1% au Tchad).
- Selon la Banque Mondiale, le taux de pauvreté du Tchad se chiffre à 64% alors que les revenus du pétrole sont estimés à 50 milliards FCFA par an [Source:Chronique des Libertés et Droits Fondamentaux n°55 mars 2003].
A l’opposé de cette paupérisation généralisée des masses populaires et à leur situation dramatique, le Général-Président Idriss Déby et sa basse-cour de thuriféraires mènent une vie qui rivaliserait de somptuosité avec celle de certains riches des pays du Nord.

Ces quelques chiffres significatifs témoignent, si besoin est, de la justesse et de l’efficacité du système socialiste scrupuleusement appliqué par les Leaders successifs du Parti de travail de Corée : Kim Il Sung, Kim Jong Il et Kim Jong-Un.

Ces puissances impérialistes qui s’acharnent contre la RDP de Corée, ne devraient-elles pas plutôt juger le déni de vie décente, exercé par le Président du Tchad et ceux d’Afrique à l’encontre de leurs peuples respectifs ?

Priver les masses populaires africaines des droits fondamentaux de l’homme (santé, éducation, logement, nourriture) avec pour conséquence des millions de morts, constitue incontestablement des crimes contre l’humanité. Pourquoi ce déni des droits fondamentaux n’aurait-il aucune valeur aux yeux des puissances impérialistes occidentales? N’y aurait-il pas en filigrane à la base de cet abject comportement des impérialistes occidentaux une philosophie d’essence raciste?
En matière des Droits de l’Homme en général, ceux de la femme en particulier, font partie intégrante de cet ensemble. Force est de constater avec admiration que la loi de la RDPC qui institue l’égalité des sexes est plus respectée car appliquée, alors que dans la plupart des pays occidentaux, les droits de la femme sont violés. A cet effet, on constate que plus 40% des parlementaires sont des femmes en RDPC. En revanche, on ne dénombre que 26,2% en France, 33,3% au Royaume-Uni, 35,1% dans l’ensemble de l’Union européenne.

Quant aux Usa qui s’autoproclament champion, gardien du temple de la démocratie et défenseur mondial des droits de l’homme, ils atteignent péniblement le chiffre de 18,3% de femmes parlementaires (Sources: Parlement européen, Union interparlementaire).

A travers ces chiffres, quelle leçon de démocratie les puissances impérialistes voudraient-elles donner à la RDP de Corée? La démocratie sexiste pratiquée en occident est le contraire de la démocratie populaire de la RDPC.

L’acharnement avec lequel les puissances impérialistes attaquent la RDPC sous prétexte d’arrêter les crimes contre l’humanité dans le pays, n’est qu’une imposture intellectuelle et diplomatique. En effet, eu égard aux crimes contre l’humanité commis en Afrique par leurs valets qu’elles ont imposés aux peuples et avec leur complicité, il serait plutôt honnête intellectuellement que ces puissances impérialistes fassent profil bas et arrêtent de s’immiscer dans les affaires intérieures la RDPC, qui par ailleurs, pratique activement la politique de non-ingérence dans les affaires intérieures d’autres États.

Est-il encore besoin de rappeler aux puissances impérialistes notamment aux USA, que leurs principaux alliés en Amérique latine: Pinochet au Chili, Videla en Argentine, Banzer en Bolivie, Stroessner au Paraguay, Bordaberry en Uruguay… étaient des dictateurs fortement nazifiés ?

Ce cercle criminel d’Officiers supérieurs, encadré par la CIA, étaient des anticommunistes primaires. Ils ont assassiné des centaines de milliers de citoyens et d’opposants latino américains, avec l’aide des conseillers militaires des USA.

Les USA sont par conséquent coupables et complices des crimes contre l’humanité contre les peuples latino-américains, tandis que la RDPC ne l’a jamais été, ne l’est pas et enfin ne le sera jamais. En effet, le Parti de Travail de Corée est toujours solidaire des peuples opprimés et exploités par les impérialistes capitalistes.

Au Moyen-Orient, les USA soutiennent militairement depuis des lustres, des monarchies arabes d’Arabie Saoudite, du Qatar, du Koweït, du Bahreïn, des Émirats arabes unis, d’Oman…, qui sont d’implacables dictatures. Pourquoi ces puissances impérialistes qui s’autoproclament « défenseurs » de la démocratie et des droits de l’Homme, ne fustigent jamais ces monarchies qui refusent la moindre notion de démocratie? En Arabie Saoudite, au Qatar, au Koweït, au Bahreïn, aux Émirats arabes unis et à Oman, les prémices ou toute velléité d’expression démocratique par les citoyens, est violemment noyée dans le sang par l’Armée. C’est ainsi que les manifestations populaires de 2011à Bahreïn et au Qatar, réclamant la démocratie ont été réprimées dans le sang. Le « printemps arabe » n’a donc pas franchit les frontières des monarchies arabes du golfe sous l’œil bien vigilant des puissances impérialistes qui préfèrent les monarchies sanguinaires à la volonté des peuples d’aspirer à la démocratie.

Ces monarchies sont de surcroît caractérisées par les gravissimes violations des droits de la Femme, considérée comme citoyenne de seconde zone par rapport au citoyen. La femme est même réduite à l’état de sous Homme, ou d’esclave. Par exemple, en Arabie Saoudite, elle n’a pas le droit de conduire elle-même sa voiture. Elle doit être conduite par un Homme.

Toujours au Moyen-Orient, depuis 2011, perdure la croisade impérialiste contre la Syrie du Président légitime Bachar Al Assad, un leader insoumis aux diktats des puissances occidentales. La volonté de ces dernières de dominer la Syrie, en imposant un dirigeant à leur volonté, ne souffre aucun doute. A cet effet, le président Bachar Al Assad bien qu’étant laïc est devenu la bête noire des puissances impérialistes et leurs alliés terroristes islamistes et autres obscurs jihadistes. Quel paradoxe pour les impérialistes occidentaux qui s’autoproclament « défenseurs » de la démocratie!

En trois ans, l’interminable guerre qu’ils ont déclenchée a semé le chaos en Syrie, faisant plus de 200.000 morts, 2,5 millions de réfugiés et 5,5 millions d’enfants touchés (Sources : Journal du Dimanche, Le Soir, 20 Minutes).

En Syrie, la barbarie, les faits gravissimes de crimes contre l’humanité, commis par les puissances impérialistes occidentales et leurs alliés jihadistes sont effroyables. Tous ces criminels doivent être traduits en justice pour crimes contre l’humanité.

La commission des droits de l’homme devrait plutôt s’y pencher au lieu de se mobiliser injustement contre la RDPC qui n’a jamais détruit un tiers pays, ni exterminé les populations qui y vivent.

La primauté du droit de la force des puissances impérialistes sur la force du droit international est inacceptable. La RDPC a par conséquent le droit et le devoir de s’y opposer par tous les moyens. C’est une question de survie d’un peuple et d’une nation.

En matière de respect des Droits de l’Homme, par comparaison à ces monarchies théocratiques du golfe où la notion de démocratie est inexistante, la RDPC fait incontestablement figure de championne. Par conséquent, elle
ne mérite pas ce procès injuste de la Commission de l’ONU.

De quel droit moral ces puissances impérialistes notamment les USA, géniteurs des organisations terroristes théocratiques (les jihadistes), tel qu’Al qaida, auraient-ils l’outrecuidance de donner de leçon de démocratie et des droits de l’Homme à la RDPC, un état de démocratie populaire développée, où les droits fondamentaux des masses populaires et leur participation effective au pouvoir sont garantis ?

Au demeurant, il conviendrait de souligner que la résolution adoptée le 18 novembre 2014, par la commission chargée de statuer spécifiquement sur les infractions aux droits humains est largement basée sur un rapport de l'ONU de 400 pages. Ce document, rendu public le 17 février 2014, concluait à des violations des droits de l’homme « sans égal dans le monde contemporain ». Pourquoi une autre Commission d'enquête créée par le Conseil des droits de l'homme de l'ONU, n’a jamais été créée puis envoyée dans les pays du pré carré français d’Afrique où les crimes contre l’humanité battent des records?

La Commission d'enquête de l’ONU sur les droits de l'homme en RDPC est constituée de trois membres. Elle était dirigée par le juriste Michael Kirby, un citoyen d’Australie, un pays inconditionnel allié des USA. De ce fait, ce volumineux rapport ne serait qu’un tissu de mensonges et contre vérités destinés à légitimer une éventuelle agression militaire impérialiste de la RDPC.

Cette crainte fut par ailleurs confirmée lors des débats sur la résolution du 18 novembre 2014 : l'ambassadeur de Cuba socialiste, Rodolfo Reyes Rodriguez avait déclaré que ce genre de résolution se concentrant sur un seul pays comme la Corée du Nord était devenu « un outil pour attaquer les autres », et demandé ce que le texte soit amendé pour appeler à une « approche coopérative » avec Pyongyang.

Le monde se souvient encore du mensonge monstrueux de 2003, lorsque le Secrétaire d’état des USA, le Général Colin Powell présenta au cours d’une conférence de presse, un tube à essai censé contenir de l’anthrax (bacille du charbon) produit par le régime irakien. Ce prétexte a servi à l’invasion de l’Irak. Cependant, à ce jour, aucune arme de destruction massive (ADM) que posséderait l’Irak de Saddam Hussein n’a été découverte. Les puissances impérialistes occidentales ont érigé les mensonges en règles dans les relations internationales selon leurs objectifs visés.

La RDPC est un pays socialiste souverain, en plein essor Technique, scientifique, économique et militaire.

Malgré les lourdes pertes humaines et en matériels, causées par la guerre étatsunienne contre la RDPC de 1950 à 1953, malgré le blocus économique des puissances impérialistes, le pays a été très rapidement reconstruit. Grâce à l’application des idées socialistes du fondateur de la RDPC, Juche Kim Il Sung, la RDPC a réussi la prouesse de la reconstruction rapide accélérée d’une économie socialiste prospère dotée d’une industrie solide, en comptant sur ses propres forces.

La fondation de la base scientifico-technique et industrielle du pays, a permis l’essor fulgurant dans tous les domaines : éducation, santé, économie, industrie, agriculture, infrastructures… La politique du Parti de Travail de Corée d’accélération du développement des sciences et de la technologie a permis à la RDP de Corée de rejoindre le cercle très fermé des pays possédant l’arme nucléaire pour la défense exclusivement de sa souveraineté et de son de intégrité territoriale. L’Armée populaire de Corée puissante et moderne assure cette défense et veille sur la quiétude du pays. Contrairement aux impérialistes occidentaux qui se servent de
leur puissance militaire pour agresser, occuper d’autres pays afin de les asservir et de piller leurs richesses naturelles, la RDPC quant à elle, utilise sa puissance militaire uniquement à des fins défensives et dissuasives. Dissuader toute velléité d’agression militaire impérialiste et notamment celle des USA qui disposent en effet, d’une dizaine de bases militaires et plus de 30.000 hommes de troupes dans la partie sud de la péninsule coréenne, qu’ils occupent depuis 1953. Selon les Traité de défense mutuelle signé à Washington, le 1er octobre 1953 entre la République de Corée du sud et les USA, en cas de guerre, les États-Unis exerceraient le commandement militaire en Corée du Sud. Cette subordination militaire aux États-Unis, fait de facto de cette dernière une colonie. (Source : ONU, Collection des traités).

Dans ce contexte historique d’agressivité permanente des USA à l’égard de la RDPC, pourquoi les puissances
impérialistes voudraient-elles prohiber, voire empêcher ce pays de poursuivre ses recherches et la production de l’arme nucléaire afin de pouvoir défendre sa souveraineté et l’intégrité du pays? Ces mêmes puissances impérialistes accepteraient-elles d’être envahies et asservies par d’autres plus puissantes ?

Le monopole de l’arme nucléaire que voudraient détenir exclusivement les puissances impérialistes, afin d’exercer des chantages, de terroriser, d’occuper militairement et d’asservir les pays non détenteurs de cette arme, est une injustice internationale caractérisée que les pays du sud ne devraient pas accepter. Le traité sur la non-prolifération des armes nucléaires (TNP), ne serait impartial, équitable que si les grandes puissances nucléaires actuelles, détruisaient la totalité de leurs armes nucléaires.

A partir du « point zéro arme nucléaire », il conviendrait alors d’imposer le TNP par tous les moyens à tous les états sans exclusion. Ce qui serait une équité incontestable pour tous les états membre de l’ONU et signataires du TNP.

Dénier unilatéralement aux pays du Sud dont la RDPC leur devoir et droit de défendre leurs peuples et l’intégrité de leurs territoires, mais permettre en revanche aux puissances impérialistes de renforcer leur capacité nucléaire pour des objectifs d’agression militaire et de recolonisation des pays non détenteurs de cette arme de l’équilibre de la terreur, est une injustice caractérisée, inacceptable qu’il faudrait énergiquement combattre. Aucun esprit rationnel, aussi peu soit-il, ne saurait accepter cette grossière imposture intellectuelle et diplomatique. Désarmer unilatéralement les pays sud en épargnant les puissances impérialistes, est suicidaire pour les premiers. En cas de confrontation, armée, l’atomisation des premiers ne prendrait que quelques secondes en faveur du détenteur du char d’assaut face à son adversaire équipé d’un simple pistolet. Ce schéma de combat inégal, démentiel, et disproportionné, représenterait l’objectif que voudraient atteindre les impérialistes en privant la RDPC de sa force nucléaire de dissuasion.

La dénucléarisation devrait être un acte mondial concomitant dans les pays et non discriminatoire. Toute l’humanité en sortirait alors grandie et gagnante, car elle renforcerait incontestablement une paix durable dans un monde sans suspicion.

Le Parti de Travail de Corée, a impulsé au pays une politique efficace de développement de croissance. La RDPC s’est alors hissée en un temps très court au rang des pays à taux de croissance très élevé. Son économie progresse le plus rapidement au monde, suivant des taux de croissance annuels officiels supérieurs à 10%. Cette indépendance politique, économique et militaire de la RDPC a été chèrement acquise face aux puissances impérialistes, qui rêvent encore de la recoloniser.

L’héroïque résistance de la patrie de Juché Kim Il Sung, suscite leur furie guerrière d’hier, d’aujourd’hui et demain. En effet, la destruction du socialisme dans ce pays et sa recolonisation sont l’objectif principal des puissances occidentales, à travers ce fallacieux prétexte de la défense des droits de l’Homme. Le peuple de la RDPC a librement choisi son idéologie, le socialisme initié par Juche Kim Il Sung. Son modèle social met l’homme au centre des préoccupations du parti de Travail de Corée et de son Secrétaire Général Kim Jong Un.

Les droits fondamentaux et vitaux de l’homme, contribuant à son bien-être social et à son intégral épanouissement (santé, éducation, logement, nourriture, emploi…) sont gratuits et garantis par le parti pour tous. Le respect des droits fondamentaux et vitaux de l’homme sont par conséquent respectés en RDPC.

En projetant d’agresser militairement la RDPC pour y imposer son modèle social, le capitalisme, les USA dénient au peuple coréen son existence en tant qu’êtres humains doués de capacité de réflexion, n’ayant par conséquent aucune culture ou une inférieure à la leur. Ce complexe de supériorité impériale, de chauvinisme, du mépris pour les autres peuples et leurs cultures et civilisations, est inacceptable. C’est ce comportement agressif qui accompagne la volonté de domination et de pillages des ressources naturelles d’autres pays, qui est à l’origine des tensions et guerres que vit le monde.

Briser la volonté du peuple de la RDPC, son libre choix du socialisme, c’est de la dictature impériale qui caractérise le comportement et les actes des USA et ses alliés occidentaux. Cette dictature capitaliste des impérialistes est contraire à l’essence même de la vraie « démocratie » qui reconnaît le droit aux peuples dont celui de la RDPC à disposer de leur souveraineté, respecte la volonté et le choix politique des peuples et enfin respecte et applique les droits fondamentaux et vitaux de l’homme, indispensables à son bien-être et à son épanouissement intégral.

Imposer aux peuples du monde la pensée unique du capitalisme et de la bourgeoisie, c’est de la dictature. Les USA et leurs alliés occidentaux révèlent ainsi leur profonde culture anti-démocratique en violant la volonté des peuples, les droits fondamentaux et vitaux de l’homme.

La RDP de Corée résiste à l’instar de Cuba socialiste, contre les agressions multiformes des puissances impérialistes prédatrices. Ces deux pays du sud, sont devenus des sources d’inspiration pour les peuples en lutte pour leur véritable indépendance sociale, politique, économique et militaire.

En conclusion, notre Parti, ACTUS/prpe, fidèle aux principes du communisme de l’internationalisme prolétarien, réaffirme sa solidarité révolutionnaire au peuple coréen et à ses dirigeants, face aux manœuvres d’intervention militaire impérialiste contre la RDP de Corée.

Nous condamnons avec la dernière énergie toutes les ingérences impérialistes, pressions multiformes, à l’égard de la RDPC. A cet effet, l’ACTUS/prpe, demande le retrait inconditionnel, immédiat et l’annulation de la résolution du 18 novembre 2014 de l’ONU. Si ces deux actes sont effectivement appliqués, cela confirmerait, enfin la volonté réelle des puissances impérialistes de faire la paix avec la RDPC. De plus, dans la foulée, il serait aussi souhaitable que s'ouvrent des discussions constructives, transparentes entre l’ONU et la RDPC, dans le strict respect des institutions et de la souveraineté inaliénables du pays.

Afin d’éradiquer le principal facteur de guerre sur la péninsule coréenne, notre Parti, ACTUS/prpe, demande aussi la fermeture inconditionnelle de toutes les bases militaires des USA et le retrait de toutes leurs troupes d’occupation de la partie méridionale de la péninsule coréenne.
- Vive la résistance du vaillant peuple coréen, sous la direction du Parti de Travail de Corée, dirigé par son Secrétaire Général Kim Jong-Un, contre les agressions impérialistes.
- Vive la pensée du Juche Kim Il Sun, appliquée par le Leader Kim Jong-Un pour consolider et amplifier le socialisme en RDPC.
- Vive le socialisme pour que vive la solidarité internationaliste avec la République Démocratique et Populaire de Corée.
- Vive la réunification pacifique des deux Corée sans ingérences négatives des puissances impérialistes, notamment des USA, pour que vive la Paix sur la péninsule coréenne.

Le 20 Novembre 2014

Le Secrétaire Général de ACTUS/prpe
Dr LEY-NGARDIGAL Djimadoum

Action Tchadienne pour l’Unité et le Socialisme / Parti Révolutionnaire Populaire et Écologique (ACTUS /prpe )
E-mail : actus_pr@yahoo.com