dimanche 18 décembre 2016

Moins deux jours pour la Der des Der, celle qui effacera tout ?

Avec certains amis, j'étais arrivé à la conclusion que le 20 décembre pourrait être la date butoir pour le déclenchement des hostilités. Les fous du Pentagone y tiennent tant ! Et il leur faut avoir déclenché l'irrémédiable AVANT la confirmation pour Trump qu'il sera bien président.




Les grands électeurs se réuniront pour voter demain lundi 19 décembre : les résultats ne seront connus en Europe que le 20 bien sonné, avec le décalage horaire. La Russie est encore plus en avance. Donc le décompte horaire correspond.





Les vecteurs "stratégiques" sont fin prêts. Le Charles de Gaulle, dont il avait été dit qu'il était de retour à Toulon, est toujours sur zone comme a pu le constater le chef des armées en tournée de popotes. Ses Rafale sont prêts, ceux basés en France métropolitaine le sont également désormais. Quant aux rafiots d'Oncle Sam, ils jouent aux scouts "toujours prêts", voui voui voui voui.




Après ce sera plus difficile, à moins que la "trêve de Noël" ne vole en éclats puisque les fous de guerre ne respectent rien. La capture d'officiers de l'OTAN à Alep doit pourtant les coincer aux entournures, parce que leur propagande faisant reposer tous les torts sur les  troupes régulières syriennes et les invités russes tombe vraiment à faux. Cela peut cependant les doper encore plus dans la volonté d'en finir en apothéose. Seul ennui pour eux, ils savent que Moscou sait tout de leurs mouvements, ce qui doit freiner quelques ardeurs à part celles de quelques jusqu’au-boutistes irresponsables et bien téméraires.


Qui vivra verra. Drôle de fin d'année.

bab

mardi 8 novembre 2016

Compteurs "intelligents" (Linky, Gazpar...) l'union européenne et la loi

Linky, Gazpar et la loi

Nous l'avons largement démontré, le compteur Linky apporte des nuisances "grâce" au CPL qui envahit tout un immeuble, même si vous-mêmes l'avez refusé, et avez réussi à faire respecter ce refus. A vous éventuellement, ensuite, d'installer des filtres et des protections murales (matelas aluminisés) pour vous protéger des ondes dans les murs provenant de vos voisins. Cela a un coût non négligeable, et aucun secours ne pourra vous être apporté, aucune assurance ne le prendra en compte.

Les nuisances continuent, avec dans la rue les échanges entre le concentrateur de chaque groupe de logements, et l'antenne principale d'ENEDIS, ou d'EDF, sur la fréquence des téléphones cellulaires. Ce va-et-vient entre concentrateurs plus ou moins nombreux (il en est prévu paraît-il 600 000 sur l'hexagone, placés à hauteur d'homme ) et centralisateur vient s'ajouter au trafic des téléphones 3G, 4G,  bientôt 5G avec les antennes-relais dont on connaît les nuisances déjà.

S'y grefferont bientôt (début du déploiement, 2017) les trafics entre les compteurs Gazpar, certes un peu moins nombreux faute de déploiement moins généralisé du gaz, et les antennes moins nombreuses, donc plus musclées, installées sur les immeubles et les châteaux d'eau pour en recevoir les données.

Enfin, sans faire de bruit,  les compteurs à eau deviennent eux aussi "intelligents" (tu parles !) au gré des désirs de Veolia, eux aussi se mêleront au concert d'ondes toujours dans la gamme de fréquences du téléphone mobile. Les réémetteurs étant là aussi moins nombreux, les niveaux du flux n'en seront que plus élevés. 

Que vont dire, et subir les hyper-électrosensibles, de plus en plus nombreux par effet de seuil ? Pour avoir collecté des témoignages, on ne peut souhaiter à personne ce basculement dans le mal-être, voire l'enfer permanent.

A côté, les autres inconvénients, pourtant non négligeables (appareils soudain en panne dès l'arrivée du Linky par exemple, parfois incendies en raison d'une pose perfectible, augmentation des réglages de puissance, donc des coûts d'abonnement en raison des pics de consommation qui mettent le compteur "en sécurité" - donc plus de courant - et autres) pourraient presque passer "par profits et pertes" comme on dit.




Tout cela, oui TOUT cela, provient de la directive dite européenne (en fait celle des lobbies d'industriels planétaires) qui exige que tous ces "capteurs" soient connectés et consultables à distance par BIG DATA. C'est un marché colossal, portant sur le profilage plus ou moins pointu des utilisations d'appareils, et dans la foulée, des UTILISATEURS également. Cette arnaque planétaire est coulée dans LA LOI, ce qui veut dire que s'y opposer, c'est s'élever sciemment contre la loi.

Faudra-t-il, visage découvert, fièrement et sans armes, nous dresser CONTRE ces diktats où nos intérêts de citoyens, d'humains même sont bafoués ? Sans doute. Le combat sera rude. Il sera d'autant plus rude, que peu de personnes encore s'en sont emparées. Car ne nous cachons pas le défi : ce sera une lutte CONTRE LA LOI. Pour nos enfants et nos descendants. Et nous n'aurons même pas comme le député Baudin à prouver que l'on est abattu pour un mandat. Nous ne sommes que de simples citoyens, conscients de la suite.

mercredi 2 novembre 2016

Europe Imprécations

 

 

Europe Imprécations

Le 18/03/2010, 18h04

Europe, inique objet de mon ressentiment !Europe voeux 2009
Europe, toi dont tous les partis sont amants !
Europe, où jouissent les adorateurs d'Or !
Europe, Éden honni car tu fermes tes ports !
Puissent tes citoyens ensemble conjurés
Saper tes fondements encor mal assurés !
Et si ce n'est assez de tous les sans patrie,
Que tout le Nord marri joigne l'Occitanie ;
Que les peuples aux peuples prêtent main et colère,
Afin de mettre à bas ta morgue délétère !
Que Commission vénale et Conseil sans entrailles
Soient investis de force au nom de la « Racaille »!
Que tous les opprimés viennent et boutent le feu
A ce carcan cynique qui dénie tous leurs vœux !
Que les cendres de ces palais réduits en poudre
Servent à bonifier les nouveaux grains à moudre !
Que le vieux promontoire asiatique en délire
Dresse vers l'occident son doigt, nouveau menhir !
BO



Inspiré de Pierre Corneille, Horace, IV, 6




sabre au clair

jeudi 27 octobre 2016

Vive le Peuple wallon, vive la pétition, haro sur l'union européenne

Ils ont osé !

Ils ont bravé la Banque Globale, la Puissance Suprême, le Gendarme du Monde, les Lâches Suppôts du Capital, pour dire NON, on veut d'abord discuter, et refuser certaines pratiques inadmissibles comme les tribunaux d'arbitrage.

Et voilà le ministre-président Magnette considéré comme un pestiféré, parce qu'il a osé, oui, osé, dire NON à Juncker l'empereur de Luxembourg. Simplement, non, on ne veut pas de vos diktats, on veut que tout le système soit déballé sur la place publique.

Certes, ça pue. C'est bien pourquoi, pour éviter la gangrène généralisée, il faut couper ce qui est pourri. Après, après seulement, on pourra mettre en place quelque chose, qui sera peut-être très différent parce que les Peuples y auront mis leur nez, et que cela ne puera plus.





C'est pourquoi a été mise en place une pétition. Oh, certes, vu la désinvolture révoltante avec laquelle d'officiels référendums ont été foulés aux pieds quand ils n'allaient pas dans le sens de CES MESSIEURS, quand elle leur sera présentée, elle sera mise au panier sans même y jeter un coup d'œil, quelle que soit son importance, parce qu'il faut qu'il en soit ainsi pour la plus grande gloire su FRIC et de la PUISSANCE. Mais cela aura permis, entre habitants du promontoire de l'Eurasie (l'Europe en tant que telle n'existe pas), de se compter, de s'apprécier, d'avoir l'idée de marcher ensemble. Et qui sait, à terme, peut-être même de gagner en renversant les superbes aux miasmes insupportables.

dimanche 4 septembre 2016

Hallali à Lamy, sorte de lettre ouverte

Cher Monsieur Pascal Lamy,


C'est avec des larmes de reconnaissance que je peux sans doute à raison vous désigner parmi les rares personnes que presque le monde entier se doit de haïr. Le prix Alcide Sulfurik, en quelque sorte.


Grâce à vous des continents entiers souffrent de la faim. Grâce à vous les cordiers se réjouissent de fournir à la pelle leurs produits pour un dernier achat d'agriculteurs aux abois. Grâce à vous des OGM placides empoisonnent tranquillement des centaines de millions de personnes, des centaines de millions d'animaux, des centaines de millions de végétaux. Grâce à vous la pollution verdit et l'effluent industriel pourrit. Grâce à vous les avionneurs fournissent toujours plus de leurs engins volants où vous trônez chaque jour en Classe Affaires.


On cite de vous une très belle phrase (Europe 1, 25 juillet 2013) :


« La démondialisation est une thèse réactionnaire. »


Merci Monsieur Lamy, vous me faites un grand honneur, car voyez-vous, je suis démondialisateur. Eugène Pottier avait écrit, pour sa part,


« L'Internationale sera le Genre Humain ».


L'internationale, c'est la communauté planétaire des nations. Des nations souveraines, qui interdisent à des sociétés bancaires, commerciales ou industrielles de faire la nique aux lois des Nations et des Peuples Souverains qui les composent. Cela signifie qu'aucune entreprise ne peut jouer de son implantation dans plusieurs pays pour faire l'arbitrage des avantages et inconvénients des législations, us et coutumes de ces pays .


Oh quelle catastrophe ce serait, pour vos Amis les Banksters, s'ils ne pouvaient plus accomplir leurs sinistres besognes. Pour vos Amis les Fabricants d'Armes s'ils ne pouvaient plus, pour des raisons bassement commerciales, favoriser ici et là troubles, guerres, attentats, meurtres, assassinats, et j'en passe. Pour vos Amis les Politiciens, si des « revenus » un peu (hum) illicites et un peu (hum) élevés ne leur donnaient pas l'entregent que leur personne ne possède guère.


Non, bien sûr, vous n'êtes pas à l'origine de TOUT. D'autres que vous œuvrent dans leur coin, de façon plus ou moins occulte, mais dans le même sens.


Malgré vous et vos amis, il faudra que nos frères humains apprennent à démondialiser, et à reprendre la main sur leur propre destin que vous leur avez volé. Volé. Volé. Le plus tôt sera le mieux. Vous serez alors comme le mari des pièces de Labiche, ............ mais content (ou marri ? ohhhh...)


Votre serviteur,

bab

lundi 22 août 2016

Le Nouvel Ordre Mondial, les maîtres du néant

Ein Volk, ein Reich, ein Führer, voilà la nouvelle doxa.



Ein Volk, les Banquiers

Eux seuls existent, eux seuls ont une importance, ce qui est logique, puisqu'ils ne servent à rien qu'à eux-mêmes.

Ein Reich, le Monde

On ne finasse pas, pour ces apatrides le monde entier n'est même pas assez grand pour leurs activités prédatrices .

Ein Führer, l'Argent

L'Argent, Mammon comme disaient les juifs, est leur dieu unique, leur Alpha et leur Omega, à la fois la source et le but du POUVOIR, ce maître insatiable.

Mais bon sang quand ils auront éliminé 90% de la population du globe, 90% des terres cultivables (par urbanisation, par empoisonnement, ou autre), 90% ou plus de plein de choses, qu'il n'y aura plus qu'une vingtaine de Grands Caïds et un certain nombre de larbins pour leur laver les chaussettes et le contenu, que les seuls trucs encore mangeables viendront de serres hautement sécurisées, aseptisées, anti-nucléarisées (ça, c'est moins évident) pilotées par des robots mécaniques et/ou humains, et qu'ils n'auront plus qu'à jouer au Pokémon Go sur une Terre dévastée, cela leur servira à QUOI ?

"Les Dieux aveuglent ceux qu'ils veulent perdre" (Térence, il y a 21 siècles)

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mardi 28 juin 2016

Différences entre un Brexit et un Frexit

Pauvres Anglais ! ((tiens, pour une fois je les plains)

Ils n’ont pas, comme les Français, eu "la chance" de répondre non au TCE. Même si ensuite un COUP D’ÉTAT leur a imposé le traité de Lisbonne, les Français en toute légitimité peuvent virer les politicards actuels et les banquiers qui les financent, puis sortir IMMÉDIATEMENT, sans attendre la moindre permission, au nom du Principe de Nécessité, et selon les articles 61 et 62 de la Convention de Vienne (1969). Rejetant comme un a priori le traité de Lisbonne, ils n’ont pas à faire appel à l’article 50 du TUE qui en est un constituant.

Sortir officiellement, bloquer les flux financiers, ceux qui les provoquent éventuellement, déclarer la patrie en danger, tout cela peut se mettre en place en quelques heures. 48 heures plus tard les derniers "diplomates" US ont quitté leur bunker, tous déclarés persona non grata. En même temps une simple lettre adressée boulevard Léopold III à Haren annonce la sortie pure et simple de l’OTAN.
Dans les jours qui suivent, les grandes entreprises sont saisies et mises à la disposition du Peuple. Y compris éventuellement les filiales de grandes entreprises étrangères. L’interdiction des OGM et des défoliants est prononcée. Des personnalités sous le coup d’accusations de meurtre par refus de précaution (vu, la FNSEA ?) sont arrêtées.

Le Quai d’Orsay se met en contact immédiat avec les BRICS et d’autres pays, pour des accords bilatéraux, en coordination avec les ministères de l’Agriculture, de l’Industrie..... car bien entendu aussitôt et en urgence des personnalités ont remplacé toutes celles qui détenaient les portefeuilles précédemment.
Un mois plus tard, la France a un tout autre aspect, les cercles qui préparaient des idées pour une nouvelle Constitution envoient des délégués pour en assurer la synthèse, l’équilibrage, avec le concours de quelques juristes pour en vérifier la forme. Quelques mois plus tard les Citoyens sont appelés à entériner le texte, auquel ils auront eu loisir d’avoir accès (avec remarques éventuelles) avant sa forme définitive.

Toutes les lois récentes sur le travail, sur les retraites, sont abrogées, ainsi que d’autres issues des instructions de Bruxelles depuis le 29 mai 2005. Les syndicats sont invités à quitter la CES, et à provoquer des congrès exceptionnels en vue de nouvelles têtes de préférence issues directement de la base. Le SMIC est dans un premier temps majoré de 20%. Les banques accordent aux PME des facilités de trésorerie sans contrepartie. (bien sûr, ce ne sont plus des euros, mais une nouvelle monnaie NON CONVERTIBLE) D’ailleurs les banques d’affaires sont dissoutes, les banques de dépôt deviennent les simples succursales de la BdF, AU SERVICE des clients, et non d’obscurs actionnaires.

Voilà quelques-unes des mesures qu’on peut prendre très vite. Bien entendu, chaque personne qui le souhaite, et qui a un projet intéressant, peut monter son entreprise pour remplacer les apports extérieurs UTILES qui pouvaient provenir des pays anglo-saxons - ceux-ci ne manqueront probablement pas de frapper notre pays d’embargo !

vendredi 24 juin 2016

Le Brexit et l'Exit tout court ! ! ! !


Aujourd'hui l'agence AFP se lamente sur le Brexit choisi par les Britanniques.

Choisi, mais pas forcément obtenu. On se souvient trop de notre choix encore plus net, le 29 mai 2005. Un président américanophile jusqu'à la couleur de ses chaussettes en a d'autorité décidé autrement. Le même scénario pourrait se reproduire.

En tout cas, on adooooore les lamentations de toutes "les Autorités" pratiquement autoproclamées de Bruxelles. Pensez donc, si la contagion prenait les Peuples pardessus leurs dirigeants, "les Autorités" pourraient se retrouver au chômage, avec une grasse retraite mensuelle que bien des travailleurs méritants aimeraient avoir... par an ! La catastrophe, quoi !

Espérons que cette vague se répande dans tous les pays, le sud en premier probablement. Espérons que les vrais Bruxellois se permettent un jour de cultiver des endives à l'emplacement d'une Commission Européenne complètement nettoyée jusqu'au dernier bloc de béton. Cela permettrait d'ailleurs que les loyers redeviennent abordables dans cette région.

Œuvrons pour que cette pseudo-Europe s'abîme dans l'océan de l'oubli, en attendant répétons comme un mantra quelques lignes que j'avais écrites, il y a six ans déjà.

Et que soit détruite la capitale de l'Empire de Mort.








Washingto delenda est




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samedi 18 juin 2016

Selon Macron, "en cas de Brexit, la France sera inflexible envers le royaume uni"

C'est du moins ce que révèle une dépêche de l'AFP. Nous allons répondre.

Nous Français, serons toujours inflexibles envers le gouvernement français. Puisqu'il ne veut pas sortir de l'union, c'est lui qui doit partir, lui et tout le Système correspondant. Nous ne le répèterons jamais assez.

Il faut sortir de l'union européenne. Il faut sortir immédiatement, sans fioritures, sans demander la permission, comme le feraient les membre de l'UPR, parce que NOUS SOMMES LE PEUPLE FRANÇAIS SOUVERAIN, et que cela est tout simplement incompatible avec une union qui décide au loin, avec des personnes non élues qui font ce qu'elles veulent. Plus exactement, elles transposent en directives ce que veulent d'ultra-puissants lobbies, financés par les multinationales.



Certes, de très nombreux membres du Peuple laissent faire, parce que la puissance des médias porteurs de fausseté jour après jour est énorme. Parce que les détracteurs sont muselés, quand ils ne sont pas attaqués en justice, ou physiquement, ou financièrement. Il ne fait pas bon d'être dans la vraie opposition, mais en même temps on ne peut pas se taire devant tant de faussetés, tant de bassesses, tant de crimes à l'occasion.

Les vrais coupables (quelques banquiers dynastiques) sont intouchables, ils n'habitent généralement pas en France, et se déplacent souvent. Il faut seulement rompre tous les maillons qui les relient à notre pays, quitte à museler à notre tour ces maillons. Un mouvement va-t-il enfin se dessiner, pour aboutir à ce résultat ? Il y va de l'avenir de nos enfants, bon sang !

vendredi 10 juin 2016

La fin du Venezuela, ou la fin du monde ?

Ce matin une opinion d'un général vénézuélien nous interpelle terriblement.

Le général Jacinto Pérez Arcay considère « inexorable » l’invasion du Venezuela

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Lors d’une entretien accordé à Russia Today, le général en chef des Forces armées du Venezuela, Jacinto Pérez Arcay, a déclaré que selon lui l’invasion, directe ou indirecte, de son pays par les États-Unis est désormais non plus une « possibilité », mais un fait « inexorable ».

Depuis 2002 et la première tentative de coup d’État contre le président constitutionnel Hugo Chávez, les États-Unis ont multiplié les opérations secrètes pour briser la résistance du pays et s’emparer de ses gigantesques réserves d’hydrocarbures.

Un document du SouthCom, daté du 25 février 2016, qui a récemment fuité, détaille les moyens mis en œuvre pour déstabiliser le pays [1].
[1] « Operación Venezuela Freedom-2 », Red Voltaire , 25 de febrero de 2016.

Pour le lien sur le Réseau Voltaire, c'est ici.

Une fois de plus le tyran totalitaire et cynique de Washington ( Sa Majesté Pognon ) a frappé, et compte bien détruire, mettre à feu et à sang tout, sauf le pétrole....

C'est hallucinant. Quand ce Moloch arrêtera-t-il ? En tout cas, pas immédiatement, si c'est la candidate des Banksters qui remporte l'élection étatsunienne. A moins que, sur une pulsion encore plus forte, elle n'ait entretemps déclenché l'attaque suprême contre la Russie. Dans ce cas, il n'y aura ni vainqueur, ni vaincu (pas même les vers, dont on sait trop combien les pesticides ont tué de ces facteurs essentiels de la vie d'un sol).

Pendant ce temps-là, les eurocrates de Bruxelles se goinfrent avidement, sans se soucier d'un avenir terriblement compromis pour eux aussi.

Washingto delenda est

bab

lundi 30 mai 2016

1976, 1996, une cascade d'anniversaires néfastes



Le 18 mai 1976, Gerald Ford, Henry Kissinger, et Valéry Giscard destaing annoncent officiellement la création de la French American  Foundation.

De cette FAF surgit le corps des Young Leaders : vingt ans plus tard François Hollande en fait partie.

Vingt ans plus tard encore, tout le monde en France peut en faire le bilan, après quatre ans de présidence Hollande s'ajoutant largement à cinq ans de présidence Sarkozy. Qu'on ne s'y trompe pas : le sieur Sarkozy aussi a un passé très lourd. Passé qui se prolonge au présent, bien sûr.

Sur ces dates mirifiques à méditer, bon anniversaire à tous !

bab



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dimanche 29 mai 2016

C'était un vingt-neuf mai...

C'était un vingt-neuf mai, et face aux pourris et aux Fricocrates en pleurs, le Peuple avait GAGNÉ !

Malgré des pressions inouïes, malgré des soutiens hystériques à Bruxelles de la part des journaleux, malgré des publicités massives, malgré les cassandres "aux ordres" qui prédisaient l'apocalypse en cas de NON, le Peuple réfléchissait.

Le Peuple prenait en mains le redoutable TCE, le Traité instituant la Communauté Européenne (depuis, pour brouiller les pistes, les  Eurocrates ont même changé ce nom en Traité sur le fonctionnement de l'union européenne). Le Peuple le triturait, portait le fer et le crayon dans les moindre anfractuosités de la bête, et le Peuple en sortait des merveilles de compréhension et des horreurs cachées derrière les mots. Ce n'était pas une mince affaire, vu la longueur de ce monument élevé à la Dictature de la Religion de l'Argent. Mais le Peuple a réussi à sonder les abîmes  où des personnages peu recommandables voulaient le précipiter.

C'est l'époque où (souvenir) je passais beaucoup de temps sur les forums d'un journal fort différent d'aujourd'hui, nommé Libération, quitte parfois à "lutter" gentiment avec Serge July, le patron de l'époque. En revanche le combat devenait âpre et sans pitié avec Jean Quatremer (il est toujours là), le correspondant à Bruxelles (il l'est toujours, signe qu'il est un pilier de la DOXA). 

Ce 29 mai, malgré l'aridité de l'objet de la consultation, nombreux furent les citoyens qui se déplacèrent pour voter. Les résultats officiels parlent d'eux-mêmes : 69,34%.

Sur cette participation exemplaire, volontaire, sans contestation, le oui obtint 45,32%, les blancs et nuls 2,51%, le non 54,68%. Chiffres tirés de Wikipedia, les autres sont moins précis. Sans doute certains se souviennent-ils encore des têtes des politiciens "de Cour" ce soir-là. Ils pouvaient tous se ramasser. Ou....


Ou ils pouvaient tricher, ce qu'ils ne manquèrent pas de faire avec application. Quitte à réécrire ce traité (rédigé sous la direction de Valéry Giscard d'estaing, je le rappelle), ils résolurent de le passer malgré tout. Des mains obscures de Bruxelles s'ingénièrent à rendre le texte illisible, sans en changer le sens ni la portée. On osa même parler de "traité raccourci" pour un texte en fait plus long.  Et quand ce fut prêt, le 4 février 2008 à Versailles, les parlementaires se couvrirent pour jamais d'opprobre en faisant que ce soit accepté. Certes ceux de l'UMP, la majorité de l'époque, votèrent généralement pour, mais vu qu'il fallait les 3/5 des suffrages exprimés pour que le vote soit remporté, il suffisait que tous les PS votent contre, et c'était fini. Mais non, certains ne sont pas venus (ils étaient 5), d'autres se sont abstenus (141), et même 32 ont voté pour ! Dès ce moment-là, la TRAHISON était consommée.

Sous le beau soleil de ce jour-là, la France a basculé en dictature. Le Peuple a été dépouillé  de sa souveraineté.
PROVISOIREMENT !

mardi 24 mai 2016

Les Européens ont dit NON à l'aberration nommée union européenne


mardi 27 mai 2014

Les Européens ont dit NON à l'aberration nommée union européenne

Un vieux proverbe paysan énonce "c'est à la fin de la foire qu'on compte les bouses" : il faut avoir tous les éléments d'un évènement pour espérer en tirer quelque leçon.
Eh bien, ô surprise ! Selon lémédia nous avons eu "une poussée des abstentions" qui se révèle parfaitement fausse.
Participation en France aux élections européennes
1979 1984 1989 1994 1999 2004 2009   2014
60,7 % 56,7 % 48,7 % 52,7 % 46,8 % 43,1 % 40,5 %  42,5%


On le constate : si 2009 fut un millésime "de refus", 2014 malgré une campagne lancée par un regroupement de mouvements dans un CNR-RUE, redresse le nombre de déplacements aux urnes. Des arguments mettant largement en valeur l'illégitimité de l'union européenne, et la nécessité en conséquence d'en sortir, n'ont pas eu l'impact attendu par des mouvements certes faibles en nombre.
Malgré tout, un fait demeure : si l'abstention a fléchi dans notre pays, ses voisins n'ont pas hésité à faire souvent bien mieux. Quel journal en a parlé ?

On remarquera que les pays dits "de l'est" ne sont pas épargnés par ce phénomène, alors qu'ils sont présentés comme ayant beaucoup à attendre de cette union européenne. Nous aurait-on trompés ? Si le Portugal est parmi les "mauvais votants", pratiquement tous les autres sont des anciens de derrière le "rideau de fer". Il faut aussi noter que, si la Belgique est parmi les champions du déplacement aux urnes, c'est que le vote y est obligatoire. Cette précision apportée, seuls le Luxembourg (on peut se douter des raisons) et Malte ont des scores que les technocrates qualifieraient de "décents".
Ces chiffres peu diffusés apportent bien la confirmation que l'union européenne s'est faite sans l'assentiment des peuples, à leur détriment, et qu'ils entendent bien protester de cette manière. Pas un commentateur n'aura soulevé "ce lièvre", soyons-en persuadés. Cependant, à Bruxelles, on peut imaginer que ces résultats sont auscultés avec une certaine inquiétude : voyons, les peuples deviendraient-ils rétifs ? Malgré l'enfumage généralisé, auraient-ils compris la situation ? Seraient-ils prêts à se soulever ? L'autorisation faite aux forces dites "de l'ordre" de tirer pour tuer en cas d'insurrection pourrait être la réponse anticipée à cette peur des pseudo-élites.
Citoyens de tous les pays, unissez-vous. Ils ont des tromblons, nous sommes des millions.

Une date funeste : le 23 décembre 1913

hop



vendredi 6 juin 2014

Une date funeste : le 23 décembre 1913

Le 23 décembre 1913, les plus puissants banquiers privés des États-Unis ont réussi à créer le Federal Reserve System, organisme de création monétaire des USA sur lequel l'administration de Washington n'a que des moyens limités de contrôle. Ce tour de passe-passe fut permis par une panique bancaire en 1908 qu'eux-mêmes avaient organisée. Avec des hauts et des bas, ce statut d'indépendance envers le Pouvoir théorique, celui sorti des urnes, mais d'allégeance complète aux trusts financiers, perdure aujourd'hui.
Quelle coïncidence ! A peine plus de six mois après cet évènement commença la Grande Tuerie. N'y avait-il pas d'argent à se faire sur un bon gros conflit armé, de préférence généralisé ?
Misant sur l'immense rancœur allemande, la Finance lança ses pions : après un premier coup raté dès 1920 (putsch de Kapp), un autre en 1923 (putsch de la brasserie, mené déjà par Hitler), l'opportune crise de 1929, durement ressentie en Allemagne, permit au peintre autrichien de se présenter comme le sauveur. Il avait de l'argent. Les financiers US se pressaient à sa porte, les industriels de la Ruhr n'hésitaient pas à le soutenir. C'est ainsi que se constitua une belle spéculation se monta une magnifique nouvelle guerre mondiale.
1941. Le Führer de plus en plus despotique devient peu maniable pour les banquiers d'outre-Atlantique. Il est temps de tourner la page. C'est ainsi que commencera l'aide à l'URSS, la mort dans l'âme pour des financiers qui abominent Moscou. C'est ainsi que se préparera le débarquement par l'ouest, donc en Normandie, alors que le Reich commence à chanceler après les grandes défaites de Moscou, puis Stalingrad et Koursk. Ce n'est plus qu'une question de temps. Il faut désormais aller le plus loin, le plus vite possible vers l'Est avant que "le régime" soviétique n'empiète trop sur les territoires qu'il ne manquera pas de libérer.
6 juin 1944. La Grande Finance débarque en Basse-Normandie, sous la forme de milliers de bateaux, d'avions, de chars, de Jeeps, et d'humains pour les conduire et les piloter. Objectif : foncer tout de suite vers le cœur de l'Allemagne et prendre position sur l'Elbe, là-bas, voire plus loin encore. Donc, éviter des villes comme Paris dont le sort est le cadet des soucis pour les rapaces de Wall Street. Il faudra le charisme de Leclerc pour forcer la main à Eisenhower, et permettre de sauver la capitale avant qu'elle ne saute. Déjà, la poche de Falaise avait rudement brisé l'élan des divisions débarquées.
Cet élan sera encore plus durement freiné par la contre-offensive des Ardennes, bien préparée, mais qui finit par échouer faute... d'essence. La pression russe ne se relâchant pas à l'Est, ce sont les chars à l'étoile rouge qui pénétrèrent les premiers à Berlin. La "paix" hâtivement signée, il ne restait plus qu'à bloquer l'avancée rouge à l'Est, en précipitant la signature du Japon déjà agonisant : DEUX bombes de la Grande Mort obtinrent ce résultat, au prix (insignifiant pour un trader) de deux cent mille victimes de plus.
Le 6 juin 1944 ne fut donc qu'un simple moment de cette avancée invasive de la Finance US. Ayant mis le pied en masse sur le sol européen, elle n'en repartit plus. De Gaulle l'ayant chassée de France, elle se contenta de s'installer tout près, à Bruxelles, avec son quartier général opérationnel à Mons. Comment, désormais, sera-t-il possible de la chasser ?

Quelle Europe voulons-nous, quelle Europe fantoche on nous a imposée ?

mardi 26 août 2014

Quelle Europe voulons-nous, quelle Europe fantoche on nous a imposée ?

Qui ne parle d'Europe, d'Europe, d'Europe  ? Encore faudrait-il définir ce dont on parle. Est-ce  celle qui, comme la définissait De Gaulle, s'étend "de l'Atlantique à l'Oural" ?  Si selon la géographie physique, cela se tient, les "rois" (pour simplifier le qualificatif) en ont pris à leur aise avec cette conception naturelle. Il est amusant de voir combien les frontières qui la divisent plus ou moins arbitrairement ont fluctué à travers les siècles.
(la vidéo qui le soulignait n'est plus disponible)
CETTE Europe qui nous tient dans ses serres aujourd'hui date de loin. Pourquoi Hitler a-t-il été si soutenu financièrement par les banquiers et industriels étatsuniens ? C'était bien avec une vision à long terme. Il n'a été lâché que quand il a voulu n'en faire qu'à sa tête, à partir de 1941. Dès 1943-44, Monnet et Schuman étaient "en stage" aux States, c'étaient les prédécesseurs de ceux qu'on appelle maintenant "les Young Leaders". Si on veut savoir qui sont nos ennemis, penser Washington + Wall Street + City of London. Cela ne date pas d'hier, voir qui était William Pitt, qui s'est toujours opposé à Napoléon, au point de lui faire commettre des erreurs.

L'Angleterre s'est toujours opposée à la création d'une Europe continentale unie (dont elle n'aurait de toute façon pas fait partie). En revanche, cette pseudo-Europe qui n'existe que du point de vue économique agrée à Londres et Washington, puisque ce sont ces deux entités gouvernementales qui mènent la danse. L'union européenne n'est qu'une colonie des anglo-saxons, avec l'avantage qu'il est possible d'y aller à pied sec grâce au tunnel sous la Manche. A-t-on remarqué que l'Europe tout entière est à peine aussi grande que le Canada tout seul ? Et hop ! un Dominion de plus. Avec des esclaves en voie de fructueuse paupérisation. La pompe est très bien amorcée.
L'Europe que l'on peut aimer doit au moins avoir été désirée par ceux qui accepteraient politiquement d'en faire partie. Il faudrait donc pour cela quitter ce qui n'est qu'un montage financier à grande échelle, pour redéfinir ensemble pourquoi nous, citoyens, voulons être ensemble. La France est depuis des siècles le fruit d'un consensus enthousiaste, dont les points d'orgue furent la Fête de la Fédération et la victoire de Valmy.  Déjà, dès 1214 (il y a donc neuf cents ans !) ce fut une coalition des seigneurs français ET des milices communales qui a permis de remporter une victoire retentissante à Bouvines face à un front européen des ducs, empereurs, comtes et autres grands seigneurs.  Ce désir commun de travailler ensemble doit se retrouver dans la constitution d'une véritable Europe où chacun se sent partie prenante et élément d'un TOUT plus fort que ses parties. Ce n'est pas jusqu'à présent ce que des banquiers et autres coupeurs de bourses ont mis en place, bien au contraire.  
On notera que la langue commune est déjà un facteur important.  Faudra-t-il une nouvelle Ordonnance de Villers-Cotterêts,  comme en 1539,  pour définir un langage commun ? A tout le moins, il est plus facile à imaginer un certain rapprochement, plus fort qu'actuellement, entre les langues latines, qui sous-entendent certains traits communs de civilisation et de culture. Avec les autres pays, ce sera plus difficile assurément. De là à penser que pourraient se constituer plusieurs Europes avec des passerelles assez lâches.... c'est plutôt envisageable.

Pour résumer, la première chose à faire, ce sera pour la France de se défaire de ses dirigeants actuels, esclaves volontaires ou non d'une logique financière nauséabonde et aberrante.  Celle qui est la base même de la culture anglo-saxonne. Il faudrait sans doute rechercher les origines de cette culture. En particulier il s'agit d'une île ayant eu besoin, ou ayant fait le choix, de commercer pour survivre.  La Grande-Bretagne et ses nombreuses possessions (y compris "les États-Unis", toujours aussi dépendants de fait de la City)  ont porté aux nues, y compris dans leur religion, ce culte de la "réussite" d'une vie concrétisée par une "réussite" financière égoïste. Ces notions s'opposent à la vie en Europe continentale de l'ouest. 

Clivage linguistique, clivage religieux, clivage culturel, difficultés de communications jusqu'à une période très récente, tous ces facteurs ont rendu une Europe unifiée difficile à concevoir et à mettre en œuvre.  C'est maintenant, sans doute, que les tout premiers jalons pourront se poser. Et bien entendu, sans "un grand frère" aux visées toutes différentes pour superviser et orienter ce processus à son profit.

Voilà pourquoi il est nécessaire de mettre à bas l'union européenne, un non-sens dont les effets se font sentir de façon dramatique, et de plus en plus. Dommage que, parmi les personnalités politiques, si peu acceptent de mettre cette évidence à leur programme.

De l'Europe nous sommes sortis, mais "les chefs" ne s'en sont pas aperçus

hop


samedi 25 octobre 2014

De l'Europe nous sommes sortis, mais "les chefs" ne s'en sont pas aperçus

Beaucoup de gens le savent, certains même le disent. Il faut se débarrasser de cette union européenne qui veut entraîner non les politicards, mais les citoyens dans une débâcle indescriptible. Il suffit de penser à la Grèce. Mais il suffit de penser aussi à l'état des étatsuniens de base. Pour rappel, le taux de pauvreté là-bas est de 46,5 millions de personnes, soit 15% de la population. Mais la situation s'aggravant de jour en jour, ce sont 80% qui soit y sont déjà, soit risquent d'y basculer d'un jour à l'autre.
Récemment, j'ai aidé mon amie Chantal Dupille, journaliste,  à finaliser, puis auto-éditer son ouvrage "Au cœur de la pègre américaine". Cela m'a amené, au gré des témoignages recueillis sur le vif, des extraits d'archives (10 ans de travail), à me brosser un tableau hallucinant de ce qu'est la vie pour tous ceux qui ne sont pas WASP ou équivalent. Encore cette étude n'est-elle pas à jour, puisque ses sources les plus récentes dataient d'avant l'an 2000. Cependant, elle exprime bien cette pente toujours descendante : en effet les fondamentaux de ce pays font primer l'effort individuel, le "chacun pour soi", la "réussite matérielle" face à la volonté de s'en sortir tous. L'intérêt aussi, est de se dire que les financiers appuient de toutes leurs forces, pour entraîner l'Europe dans les mêmes travers, malgré un contexte différent. D'où ce forcing pour casser la commune, le département, la langue, les données culturelles, l'État, tous les repères, quoi.
Et la seule façon de procéder, pour contrer cette avalanche de diktats via Bruxelles (simple boîte aux lettres), c'est de sortir unilatéralement et en force de tous les traités depuis celui de Rome. On notera qu'en 2005 les Français ont dit non à un texte long, certes, mais qui rappelait tous les traités successifs. Ils ont donc déjà dit non à tous les traités, y compris celui de Maastricht : en effet, et je m'en souviens fort bien, faute de discussions sur un Internet encore inexistant ou presque, il n'y a eu qu'une seule voix dans les médias, celle pour le Oui. On rira d'ailleurs de se rappeler que, malgré ce forcing, le traité était passé de justesse dans un référendum à la campagne pourtant profondément biaisée.
La vox populi étant supérieure en légitimité et en droit aux politiciens, depuis le 30 mai 2005 nous ne sommes plus dans l'union. La sortie effective correspondra donc à la mise en application par décret d'une décision claire exprimée antérieurement. Une telle mesure peut donc se prendre à l'improviste, le Peuple s'est exprimé sans ambiguïté par avance.
C'est d'ailleurs ce que le PG n'a pas compris, ou pas voulu comprendre. Mais l'UPR, qui compte quitter Bruxelles en faisant appel à l'article 50 d'un traité qu'il dénonce, n'est pas plus cohérente. Au point d'ailleurs d'avoir présenté des candidats à une assemblée strasbourgeoise réputée illégitime par le peuple. On se souviendra du taux d'abstention aux deux dernières consultations dites "européennes". Pour les autres partis, tous les autres partis, ils sont soit parties prenantes dans la grande course néolibérale, soit englués dans celle-ci en raison de leur mondialisme (cas du NPA par exemple).
Le M'PEP doit dès à présent reprendre seul un flambeau qui traîne, bien que depuis six ans déjà il en soit le soutien, et le présenter à tous en se présentant lui-même comme la seule force crédible de ce XXIe siècle. Lui seul a appelé au boycott de la dernière consultation européenne, mais aussi a expliqué, expliqué, expliqué les raisons de son choix, mais aussi est prêt à proposer aux électeurs des candidats munis de cette option, ainsi de ce qui en découle en matière de politique. On se souviendra qu'il s'appuie sur ce que les USA (tiens, encore eux)  avaient sabordé : ils avaient refusé de ratifier  la Charte de la Havane  en 1948. On se souviendra qu'il est résolu, dans un contexte différent certes, à appliquer à nouveau les fondamentaux du CNR.
Il n'est pas trop tard : si une majorité de citoyens se lèvent pour soutenir cet engagement pour "chez nous", comme pour les relations internationales, des lendemains, voire des surlendemains qui chantent sont encore possibles.

C'est LA GUERRE

Re...




vendredi 21 novembre 2014


C'est LA GUERRE

LA GUERRE, JE SUIS





Reprise, actualisée, d'une chanson si belle et si terrible.
bab

Union européenne, comme URSS : plus dure sera la chute

A nouveau....


vendredi 28 novembre 2014


Union européenne, comme URSS : plus dure sera la chute

Je viens de découvrir une vidéo, d'un Russe très pertinent :  il a décelé toutes les failles de l'ex-URSS , et démontre que l'union européenne suit point par point la même pente. La conclusion est sans appel : comme l'URSS, l'union européenne tombera, et ne laissera que ruines physiques et aussi souvent dans les têtes.

Voici ce document très important et très lucide.


Malheureusement pourquoi l'UPR "ramène-t-elle sa fraise" à la fin ? Ce n'est pas le seul parti qui a pour principal souci la sortie de l'union européenne. Mais aussi bien entendu de l'euro, de l'OTAN (complètement), du FMI, de la banque mondiale, de l'OMC....  *

De plus, il a démontré qu'il ne s'y prend pas de la bonne manière. Avoir présenté des listes aux dernières élections au parlement européen "pour avoir une tribune", c'était inefficace, et cela a contribué à donner une légitimité à un régime illégitime.

Le M'PEP a soutenu au contraire le boycott par l'abstention, justement pour refuser d'entrer dans £€ $¥$T€M€.

L'UPR entend sortir de l'union européenne "grâce à l'article 50". L'article 50 de quoi ? D'un traité que les citoyens français ont largement refusé le 29 mai 2005, même si désormais on le présente sous un autre nom. Donc se servir d'un article illégitime d'un traité illégitime, n'est-ce pas incohérent ?

Le M'PEP au contraire entend s'appuyer sur la décision du peuple-nation français de refuser ce traité, et les précédents (qui étaient inclus dans le texte soumis à référendum). Le 30 mai 2005 au matin, nous étions sortis de ce bourbier, ce sont simplement des dirigeants félons, suivis par des "parlementaires" moutonniers", qui en ont arbitrairement décidé autrement. On appelle cela un coup d'État, bien que les médias aux ordres n'aient jamais prononcé le mot. Cela veut dire aussi que, depuis cette date, aussi bien les "représentants du peuple" que les hauts fonctionnaires ne sont plus rien pour le Peuple, et doivent tous gicler, afin de laisser à la place au Peuple Souverain et à une nouvelle donne politique et économique où la grande finance n'a plus du tout son mot à dire.
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*    Le M'PEP se réfère en particulier, pour reprendre les relations internationales d'une tout autre façon, de la Charte de La Havane de 1948 instituant l'Organisation Internationale du Commerce, et aussi de la Déclaration de Cocoyoc de 1974.
Si l'OIC n'a pas pu être mise en place, c'est parce qu'à la suite d'un changement de majorité au Congrès, les USA ont refusé de ratifier le protocole. Il n'est pas trop tard, sur les mêmes bases, ou des termes très voisins, de reprendre le processus quitte à écarter "l'Occident" devenu ultra-libéral.